Diego était en train de servir ses clients derrière le comptoir du bar, une bière à la main et un sourire sur les lèvres. Il aimait cet endroit, l'ambiance chaleureuse et les clients réguliers qui venaient passer un moment agréable avec elle, la chanson Creepin de The Weeknd.
Alors qu'il remplissait une chope de bière, il sentit une présence dans son dos. Il se retourna et vit son amante sortir de l'arrière-boutique.
Elle avait une longue robe rouge qui lui allait à merveille, ses cheveux bruns tombaient en cascade autour de ses épaules et ses yeux brillaient d'un éclat malicieux.
"Salut beau gosse", dit-elle en se dirigeant vers lui.
Diego sourit, heureux de la voir. Il déposa la chope sur le comptoir et l'enlaça doucement.
"Salut toi, comment ça va?"demanda-t-il.
"Ça va bien", répondit elle avec un sourire.
"Je venais juste te dire au revoir avant de partir. Je ne serai pas là ce soir."
Diego sentit un pincement de déception. Il aimait passer du temps avec Elle et il allait manquer sa présence ce soir.
"Tu vas me manquer", dit-il en l'embrassant doucement sur les lèvres.
Son amante sourit et passa une main dans ses cheveux.
"Je vais te manquer? Tu vas être très occupé ce soir, j'en suis sûre", dit-elle avec un clin d'œil.
Diego sourit, sachant qu'elle avait raison. Le bar serait probablement plein ce soir et il y aurait beaucoup de travail à faire.
"Tu as raison", dit-il.
"Mais je penserai à toi tout de même."
Il l'embrassa de nouveau, un baiser passionné qui la fit sourire.
"Je dois y aller maintenant", dit-elle en se détachant doucement de son étreinte."Prends soin de toi."
"Tu sais que je le ferai", répondit Diego.
Ana lui fit un petit signe de la main et se dirigea vers la porte. Diego la regarda partir, le cœur plein d'émotions. Il savait qu'il avait de la chance de travailler dans un endroit qu'il aimait autant.
Il retourna à son travail, souriant aux clients et remplissant les verres.
Il n’était pas prévu que Zélina passe au bar ce soir. Elle devait normalement avoir une réunion avec les autres professeurs et donc être obligé de rester au sein de l’enceinte de l’école. Elle déteste ce genre d’obligation et a été bien contente d’apprendre que cela a été annulé. Elle est donc bien décidée à surprendre Diego par sa présence inattendue. Elle se rend donc au bar en passant par l’arrière-boutique. Déjà une odeur inhabituelle l’interroge. Cela ressemble beaucoup à un parfum… Un parfum de femme. Elle est étonnée mais ne s’attend certainement pas à ce qu’elle entend alors qu’elle ouvre la porte menant au bar. Elle assiste à une discussion entre Diego et une autre femme. Discussion qui a pour conséquence de provoquer la montée d’une colère inhabituelle. Elle n’a jamais ressenti réellement ce genre de discussion. Elle n’en a pas vraiment conscience mais elle ne supporte pas de voir une autre femme de Diego proche de lui. Elle ressent une forme de possessivité à son égard comme s’il ne devait lui appartenir qu’à elle. Alors qu’elle voit la femme sortir, elle passe par l’arrière alors qu’elle n’a pas encore été vu. Le fléreur de Zélina la suit alors qu’elle la voit dans un tel état, se demandant ce qui arrive à son humaine. Zélina suit la jeune femme et attend qu’elle soit dans une ruelle sombre. Le fléreur est resté à distance pour ne pas se faire repérer. Elle en profite grâce à la magie pour la plaquer contre un mur. Le noir absolu permet que Zélina ne soit pas vu.
Elle se porte à la hauteur de l’oreille de la femme et lui murmure d’une voix glaciale. « Plus jamais tu ne t’approche de Diego sinon tu le regretteras amèrement ». Elle la menace de sa baguette histoire de bien ancré le message et lui jette un sort pour la ligoter. Elle s’en va ensuite la laissant saucissonner dans la ruelle sombre. Elle rejoint alors le bar d’un pas tranquille et pénètre dans le bar alors qu’une idée germe dans son esprit. Elle enfile la première tenue que Diego l’a forcé à mettre lors de leur première sortie au restaurant. Un moment difficile pour elle mais elle arrive maintenant à apprécier ce genre de tenue. C’est encore fragile et elle redoute toujours ces moments mais elle assume davantage. Elle enfile donc la robe, reprenant les exigences de cette première sortie. Elle entre ainsi dans la partie bar et se dirige vers le client le plus sexy du bar. Elle lui murmure d’une voix sensuelle. « Est-ce que je peux t’offrir un verre ? ». Ses yeux se perdent dans la vue qui lui est offerte et il ne sait plus quoi répondre alors que la bave commence à couler de sa bouche. Elle s’assoit alors sur une chaise toute proche de lui. Les corps sont proches mais sans se toucher. Elle l’observe avec un regard qui semble vouloir le dévorer. « Tu attends quelqu’un ? » Il bredouille alors. « N…No…Non »
Diego, surpris de voir Zélina arriver au bar, s'approche d'elle avec un sourire. Mais son sourire s'estompe rapidement lorsqu'il remarque son air distant et sa robe qui lui rappelle leur première sortie.
Il se demande ce qui se passe alors que Zélina s'assoit à côté d'un autre homme.
Elle lui murmure quelque chose à l'oreille, le faisant bafouiller.
Diego commence à ressentir un étrange sentiment de jalousie alors qu'il les observe tous les deux de loin.
Il sait qu'il n'a pas le droit d'être jaloux, mais il ne peut s'empêcher de l'être en voyant Zélina aussi proche d'un autre homme, il serra son poing d'une force qu’il cassa un verre dans sa propre main.
Il décide de les rejoindre, il lui agrippe le bras fortement avant de lui dire.
“A quoi tu joues bordel ! “ses yeux était noir de colére.
L’homme assit au côté de Zel se leva et dit à Diego de la laisser tranquille, Diego le regarde menaçant et lui dit.
“Ecoute moi bien face de pet si tu veux pas mourir ici vaudrait mieux que tu la ferme et que tu te rassoit vite sinon tu va passé un sale quart d’heure !”
L’homme ne se laisse pas dégonfler, il tient tête à Diego et continue de le menacer, Death sent sa colère monter de plus en plus, il sort sa baguette la pointe vers l’homme et lui dit.
“Tu l'auras voulu j’irai voir ta famille pour leur apprendre ton décès sale ivrogne, regarde Zel dit au revoir à cette raclure ….”
Diego a le visage ferme et confiant il était sûr de lui, il regarda L’homme une dernière fois et hurla
Elle s’est assise à côté de l’homme lui parlant d’une voix sensuelle et lui offrant dans le même temps une belle vue. Elle continue de lui murmurer à l’oreille. Elle observe du coin de l’œil les réactions de Diego alors qu’elle a toujours cet étau de jalousie qui lui enserre le cœur. Un sentiment qu’elle ne connaissait pas avant ce soir et qu’elle trouve fort désagréable. Elle le voit du coin de l’œil les rejoindre et lui agripper le bras en la questionnant. Elle lui répond d’un ton ironique. « Je suis simplement poli avec ce client. Je fidélise ta clientèle ». Elle voit la colère dans ses yeux et le client s’en mêle lui demandant de la laisser tranquille. Elle voit Diego s’énerver, le client également. La situation semble échapper complètement à un quelconque contrôle surtout alors qu’il s’apprête à lancer un sortilège qui pourrait blesser très sérieusement le client.
Zélina se met alors à léviter et vient lui administrer une gifle monumentale pour stopper le sortilège avant qu’il ne soit trop tard. « Non mais tu es complètement fou ». Elle se tourne alors le client et lui parle d'une voix autoritaire et ferme. « Je ne t’ai pas demandé d’intervenir non plus. Je peux très bien lui demander de me laisser tranquille si je le souhaite. Maintenant tu vas quitter ce bar immédiatement ». Elle se jette un sort pour amplifier sa voix. « Le bar est fermé, vous sortez tous immédiatement ». Sa voix est autoritaire et ne laisse aucunes autres options. D’ailleurs tous les clients obtempèrent et le bar se vide instantanément. Elle se tourne alors vers Diego en lui criant dessus. « Mais qu’est ce qui t’as pris ? Tu es complétement timbré ? L’autre poufiasse t’embrasse et je ne peux même pas discuter avec un client ? ». Elle est furieuse et sa voix le démontre.
Diego, le visage rouge de colère, il se prend la gifle sans bronché et répond à Zélina d'un ton agressif
"Qu'est-ce qui m'a pris ? Tu te fous de moi ? Tu es en train de flirter avec un client sous mes yeux, et quand je t'interroge, tu me réponds avec de l'ironie ? Tu te rends compte de ce que tu fais ? Et maintenant tu te crois tout permis, à donner des ordres ?"
Diego respire un grand coup pour se calmer, mais ses yeux restent remplis de rage.
“En quoi ça te gêne que j’embrasse une autre ? Dit- moi !”
Il va derrière son bar et boit un verre remplie de whisky avant de le cassé au sol
“Tu te crois au-dessus des autres ?! Tu rapplique avec cette robe et tu aguiche un client devant moi ! Si tu veux faire ta salope c’est pas devant moi !”
Il était fou de rage, fou de voir Zelina dragué devant lui, pourtant ils étaient de simples amants c'était juste de l'amusement entre eux.
Diego s’alluma une cigarette puis bois à même la bouteille.
“T’es jalouse c’est ca ! Hein avoue que c'est pour ca que tu flirte avec ce vieux plouc !"
Diego continue sur sa lancée, le ton de sa voix augmentant au fur et à mesure qu'il parle.
"Tu penses que tout t'est dû, n'est-ce pas ? Tu crois que tu peux faire ce que tu veux, flirter avec qui tu veux, même si c'est devant moi ? Mais ce n'est pas comme ça que ça fonctionne, Zélina. Nous avons une entreprise à diriger, des clients à satisfaire, et une réputation à préserver. Et toi, tu viens ici et tu fais tout voler en éclats avec ton comportement irresponsable."
Diego s'approche de Zélina, un regard brûlant de colère dans ses yeux. Il lui fait face, l'air menaçant.
"Tu veux jouer, Zélina ? Tu veux flirter et t'amuser ? Très bien. Mais tu le fais en dehors de l'entreprise. Tu ne mets pas en danger tout ce pour quoi j’ai travaillé si dur. Tu ne mets pas en danger mon gagne-pain, mon avenir. Tu ne mets pas en danger notre relation, non plus. Parce que si tu continues comme ça, je ne pourrai plus te faire confiance, Zélina. Et si je ne peux plus te faire confiance, nous n'avons plus rien."
Diego prend une bouffée de cigarette, puis crache la fumée en direction de Zélina.
"Retourne dans ta forêt et me fait pas chier ok !"
Elle vient de lui mettre une gifle pour l’empêcher de jeter ce sort sur le client. Elle fait ensuite le nécessaire pour que tous les clients quittent le bar. Au fur et à mesure où elle l’écoute, la colère monte de plus en plus en elle. Elle ne s’est jamais sentie autant en rage. Les paroles sortent ensuite sans qu’elle ne contrôle réellement ce qu’elle dit.
« Pourtant tu aimais ça que je fasse la salope. Tu ne l’as pas décidé et donc cela ne va pas ? Tu devrais faire attention à tes chevilles et à ton cou. Tu vas juste finir par exploser avec un égo pareil. Monsieur se prend pour un dominant en carton et ne supporte pas la moindre contrariété ».
Elle parle sans réfléchir et allume également une cigarette. Elle est à deux doigts de lui arracher la bouteille des mains mais elle se retient
« Mais réfléchis bon sang, tu ne sais pas où elle a trainé, elle est peut-être pleine de morpion et de maladies parasites. Et après tu vas me les refiler ».
Une excuse comme une autre alors que la jalousie lui crève simplement le cœur.
« Jalouse de quoi ? Jalouse d’une bimbo qui se pâme devant toi et se montre aussi docile qu’une moule. C’est sûr cela ne doit pas te demander grand effort ».
Ses yeux le fusillent du regard et elle ne bouge pas alors qu’il s’approche d’elle. Elle ne recule pas d’un pas.
« Je m’approche à peine un mec et déjà tu pète un plomb. Au point d’être prêt à le blesser sérieusement. Et tu viens me parler de réputation. Tu te la grilles tout seul ta réputation, tu n’as sûrement pas besoin de moi pour cela. C’est certain que ramener une nouvelle nana chaque soir en plus d’être un alcoolique notoire cela te donne une réputation et aide à ce que tes affaires tournent. Mets tes yeux en face des trous au lieu de penser comme un mec et tu prendras enfin conscience de la réalité ».
Elle décide de faire comme lui et de lui envoyer la fumée de la cigarette dans la figure. Il n’y a pas de raison que ce ne soit que lui qui agisse ainsi.
« Parce que tu crois que moi je peux te faire confiance alors que tu sautes sur tout ce qui ouvre les cuisses devant tes beaux yeux ? Parce que tu crois que moi je peux te faire confiance ? Après avoir vu embrassé cette fille ? Si tu veux être avec elle, très bien, va lui montrer ta salle et je te souhaite de bien t’amuser ».
Elle a les larmes aux yeux alors qu’il parle de la forêt. Le sujet encore le plus douloureux pour elle.
« Très bien je vais y retourner ».
Elle se dirige alors vers la sortie du bar prête à claquer la porte et à sortir du bar. Elle n’a jamais ressenti une telle colère et elle sent son cœur qui s’emballe.
Diego écarquille les yeux en entendant les paroles de son interlocutrice. Sa mâchoire se serre, ses poings se crispent et il sent la colère monter en lui. Il ne peut pas croire qu'elle soit en train de l'accuser de toutes ces choses. Il se lève brusquement de sa chaise et la regarde droit dans les yeux.
« Tu te prends pour qui ?! Tu n’as pas le droit de me gifler et de m’empêcher de faire mon travail ! Et maintenant tu me parles de réputation ? Tu ne penses qu’à toi-même ! »
Il la regarde de haut en bas avec mépris. La playlist au bar continuait de tourner, la chanson Heartbeats de José Gonzalez résonne dans le bar
« Et puis quoi encore ? Tu crois que tu peux me dicter ma conduite ? Tu n’es pas ma mère ! »
Diego secoue la tête avec dédain.
« Et maintenant tu te mets à insulter les femmes ? Tu n’es qu’une hypocrite jalouse qui ne supporte pas que je parle à d’autres femmes que toi ! Tu la connais ? Non donc ne juge pas sans connaître ! Tu me jalouse car j’ai dès conquêtes à droite et à gauche tout ça parce que je m’amuse je profite de la vie alors que toi tu n’attires personne ! »
Il tire une bouffée de sa cigarette et crache la fumée en direction de son interlocutrice.
« Tu ferais mieux de balayer devant ta porte avant de venir me donner des leçons de morale. Tu étais prête à coucher avec un inconnu juste pour ta petite vengeance personnelle, c’est pathétique ! Et pour info, je ne suis pas un alcoolique notoire ! »
Il la regarde droit dans les yeux, essayant de contenir sa rage bouillonnante.
« Tu ne sais rien de moi et tu n'as jamais cherché à me connaître. Tu as juste vu ce que tu voulais voir, ce qui t'arrangeait. Tu n'as jamais cherché à comprendre mes choix, mes décisions, mes envies. Tu es juste jalouse de tout ce que je fais, de tout ce que je suis. »
Diego se mit à hurler.
“PUTAIN TU CROIT QUE JE BOIT POUR LE PAISIR ?! J’AI PERDU MA FILLE LA SEULE QUI ME DONNAIT UNE RAISON DE VIVRE !”
Ca y est Diego a vidé son sac elle sait enfin pourquoi il était alcoolique, en faisant cette déclaration les larmes lui montèrent au yeux.
Diego se rapproche dangereusement d'elle.
« Et puis cette histoire avec la forêt, tu vas finir par me rendre fou ! Tu ne peux pas tourner la page et avancer ? Je ne suis pas responsable de tout ce qui t’arrive !.Tu n'as qu'à régler tes problèmes personnels et arrêter de me prendre pour ton punching-ball ! »
Il la regarde s'approcher de la porte avant de la verrouiller a coup de baguette.
“Tu crois que la fuite c’est une solution ? Toi la grand Zélina qui affronte n'importe quel problème et qui fuit a la première occasion ?”
Il la regarde fixement avant d'enchaîner.
“En soit tu est comme les autres à la première contrariété vous fuyez et vous vous venger a la moindre occasion et après ça se plaint que les mecs deviennent des salauds pauvre fille…”
La colère monte entre eux. Ils échangent des piques et des propos très dur. Elle fume cigarette sur cigarette pour tenter de garder une forme de contrôle.
« T’empêcher de faire ton travail ? Alors que tu viens de menacer de blesser gravement un individu ? Tu penses sincèrement que les personnes seraient restées sagement assise à boire leur verre sans rien faire ? Si je n’étais pas intervenue, c’est la police magique qui débarquait ici. C’est sûr que la garde à vue aurait arrangé tes affaires »
Elle trouve cela profondément injuste tout en l'étant elle-même. Ils sont l'expression même de la colère et de tous ses excès.
« Je ne suis pas ta mère certes mais je suis ta partenaire et j’ai le droit à un minimum de respect. Au lieu de risquer de me ramener toutes les saloperies qui traînent."
La rage bat dans sa voix. Il touche ses points les plus sensibles et elle le déteste en cet instant.
« Je n’attire personne ? Tu m’as imposé une règle de fidélité m’empêchant d’aller voir ailleurs alors que toi tu le fais ? Comme veux-tu que je puisse respecter tes règles dans ce cas ? Quand je profite de la vie et m’amuse un peu, tu pètes un plomb et tu es incapable de te contenir ? Tu oses me mettre dans la figure que je n’attire personne alors que tu sais que j’ai dû mal avec mon corps".
Elle ressent une profonde tristesse alors qu’il parle de la forêt Amazonienne. Elle lui en veut énormément de parler de ce sujet.
« Je ne t’en parlerais désormais plus. J’avancerais par moi-même. Tu ne veux plus être présent pour moi ! Très bien j’ai compris ! Tu ne sembles plus supporter ma présence alors pourquoi est-ce que je resterais ? Tu me remplaceras en un clin d’œil, tu me l’as bien fait comprendre. Vas y va profiter de la vie ! ».
Elle lui lance alors les clés de son bar qu’il lui a donné. Ce geste lui transperce le cœur car elle tient bien plus à lui qu’elle ne veut bien se l’avouer à lui. Elle prend conscience alors des propos qu’il a tenu sur l’alcool et sa fille. Maintenant qu’elle a déversé sa rage, les mots résonnent et ont l’effet d’une douche froide. La colère s’est instantanément envolée. Sa voix se radoucit même si l’énervement est toujours présent dans son cœur.
« Bon sang, je ne savais pas pour ta fille. Tu me rends complètement folle. Je ne sais plus où donner de la tête. Te voir avec une autre femme c’est juste insupportable. Je ne supporte pas que tu couches avec une autre, qu’elle puisse te toucher. Je crois que je voulais juste te faire réagir… mais pas à ce point. Je n’ai pas vraiment réfléchi à ce que je faisais. Je t’ai vu avec l’autre et tout est allé si vite ».
Elle se rend bien compte qu’elle a réagit uniquement sous le coup des émotions. Ses propos n’étant dictés que par la colère qui a envahi son cœur.
« Et la réciproque est vraie à ce que je constate »
Elle a une moue gênée et lui avoue.
« L’autre, elle est ligotée dans une ruelle…. Elle a que ce qu’elle méritait mais faudra peut-être qu’on la détache à un moment ».
Diego jeta à nouveau une bouteille sur le sol qui s'explose instantanément cette fois-ci et hurla.
“J’en ai rien a foutre de la police magique, des Aurors et tout autres formes d’autorités ! Tu crois que ca s'arrete ca ? Combien de fois ils ont failli me foutre à Azkaban mais sans jamais réussir surtout l’Auror Fields Eileen qui rêvait de me foutre là haut mais tu c’est quoi avec toute cette merde ont est devenus amis, ils on jamais réussis tu sais pour quoi ? CAR PERSONNE NE PEUT ARRÊTER LA MORT !”
Il faisait référence à son surnom, plusieurs fois Azkaban lui a fait de l'œil mais jamais Diego a passé ses portes.
Il s’approche dangereusement d’elle se met face à face tout en hurlant ce qui la fait reculer jusqu'à la plaquer contre le mur.
“LE CONTRAT TU LA LU ? TU LA SIGNER ? TU A ACCEPTER MALGRÉ TOUT NON ? ALORS NE VIENS PAS FAIRE TA PLEUREUSE MAINTENANT C'ÉTAIT TON CONTRAT MOI J'AI AUCUN CONTRE LES RÈGLES SONT VALABLE POUR TOI PAS POUR MOI”
Il donne un violent coup de poing dans le mur juste à côté de Zel avant de continuer.
“TU C'EST QUOI TA RAISON MAINTENANT DÉMERDE TOI SOLO !”
Il part à l'arrière boutique et revient avec les deux contrats en main et les déchires devant elle juste avant qu'elle lui balance les clés du bar.
“Voila maintenant tu peux faire ce que tu veux j’en ai rien a foutre tu peux voir qui tu veux que ce soit ce vieil alcoolique ou n'importe qui je m'en branle Zel.”
Creep de Radiohead retentit dans le bar pendant leurs querelles, il la regarde s'approcher doucement, son visage est fermé et sans émotions,il écarquille les yeux quand il entend qu’elle a ligoté son amante.
“Quoi tu as ? Tu as quoi ?....Je ne sais pas quoi dire la…”
D’un coup de baguette, il annule le sortilège qui a permis de verrouiller la porte puis lui dit.
“Ecoute j’ai besoin d'être seul la…Alors écoute va ou tu veux soit tu pars d’ici, soit tu va dans la chambre d’amis peu importe mais la j’ai besoin d'être seul.”
Il se tient la main car le choc entre le mur et sa main avait causé quelques dégâts mais rien de bien méchant, à ce moment précis Diego a juste besoin de réfléchir à tout ce qui vient de se passé, il a besoin de faire le point.
Rien ne semble pouvoir arrêter cette colère qui s’amplifie entre eux. Elle l’entend hurler contre elle alors que la rage hurle dans son cœur. Elle a déballé tout ce qu’elle a à dire et désormais elle se ferme complètement. Elle ne parle plus, son regard est totalement froid alors qu’elle encaisse toutes les horreurs qu’il lui adresse. Rien ne semble l’empêcher d’être juste horrible à son égard. Elle a ses tords aussi mais sa colère est désormais froide. Sûrement la pire des colères qui puisse exister en soit. Elle se tait alors qu’il revient avec les deux contrats et les déchirent devant elle. Son cœur se serre encore plus. Elle ressent une colère profonde mêlée à une tristesse intense. Rien ne pourra certainement réparer cela entre eux. Pourtant, sa colère s’adoucit un peu quand il parle de sa fille. Elle tente un pas vers lui, prête à mettre sa colère de côté mais elle comprend que rien ne peut être fait alors qu’il lui ouvre les portes de son bar. Tout semble fini entre eux en cet instant. Un mur, une main cela peut être réparé mais les dégâts dans leur relation semblent immenses. Un sort ne suffira pas à réparer les blessures morales qu’ils se sont infligés mutuellement. Ils sont venus ravivés des souvenirs douloureux sous l’impact de la colère. Elle pourrait répliquer encore et sûrement rajouter de l’huile sur le feu mais sous le poids de la tristesse, elle ne sait juste plus rien dire. Elle pense à retourner à Poudlard mais elle ne se sent pas de quitter le bar.
Elle ne le veut pas vraiment alors ses pas la conduisent dans la chambre d’ami. Enfin sa chambre finalement depuis plusieurs mois. Elle n’a pas envie que tout cela s’arrête malgré la colère qu’elle ressent. Elle prend machinalement une chemise à Diego qui traîne dans le coin. Il l’a sûrement oublié la dernière fois qu’il la rejoint ici au milieu de la nuit. Elle s’installe en boule sur le lit la chemise en main et elle sent Eschweilera qui vient se blottir contre elle. Son fléreur ronronne comme pour tenter de la calmer. Zélina passe de la tristesse à la colère. Elle se remémore les mois passés ensemble ainsi que tous les bons moments. Dans un élan de rage, elle déchire cette robe maudite. Elle a autant permis à Zélina de commencer à accepter son corps qu’entraîner cette dispute juste horrible. La robe tombe en mille morceaux et elle se blottit de nouveau dans le lit. Le fléreur pose une patte protectrice sur elle et cherche à lui adresser du réconfort. Elle a toujours la chemise contre elle qu’elle sent, comme une recherche de l’odeur de Diego. Elle a envie de l’insulter tout en étant au bord des larmes.
Diego est debout au bar, les mains tremblantes de colère contenue. Il avait poussé Zélina à bout, il le savait et maintenant il ne pouvait pas ignorer les dégâts qu'il avait causés. Il se souvint de la façon dont elle avait cherché à se rapprocher de lui, prête à mettre de côté leur colère, mais il avait été trop aveuglé par sa propre rage pour laisser une chance à leur relation. Maintenant, il était seul au bar, un mur érigé entre eux.
Il sentait un vide dans sa poitrine. Il avait perdu quelque chose de précieux, quelque chose qui avait été construit sur des mois de travail et d'efforts. Il se demandait si quelque chose pouvait être réparé, si leur relation pourrait être sauvée. Il avait l'impression que c'était impossible, mais quelque chose en lui refusait d'abandonner. Peut-être que s'il faisait le premier pas, s'il essayait de lui parler, ils pourraient commencer à réparer les dégâts.
Il est furieux, frustré et triste à la fois. Il sait qu'il a eu tort de déchirer les contrats et de dire toutes ces horreurs à Zélina. Il regrette sincèrement d'avoir été si méchant avec elle. Mais malgré cela, il ne peut pas s'empêcher de ressentir une colère brûlante envers elle. Il ne comprend pas comment ils ont pu en arriver là, comment leur relation a pu se dégrader à ce point.
Il s'assoit derrière son comptoir, la tête entre les mains, essayant de se calmer.
Puis Diego commence à boire voir un peu trop même c’est vraiment très rare de voir Death dans cette état
C'est alors que sa fille entre dans le bar enfin du moins c’est une hallucination dû à l’alcool car rappelons le sa fille est décédée il ya des années.
Il est surpris de la voir ici, mais en même temps, cela lui fait du bien de la voir un larme coule sur sa joue, il prend sa fille dans les bras et la serre fort contre lui et lui dit.
“Tu m'a terriblement manqué…”
Sa fille lui essuie les larmes qui ruisselle sur ses joues et lui demande pourquoi Diego est si en colère, il lui parle de Zélina, de leur dispute et de ses regrets. Sa fille le réconforte et lui rappelle qu'il doit être plus patient et plus tolérant envers les autres, même quand il est en colère. Elle lui dit aussi qu'il doit essayer de réparer les choses avec Zélina, s'ils veulent sauver leur relation et que c’est ce que “maman” en parlant de sa femme deceder, aurai voulut pour lui.
Diego se sent mieux après cette conversation avec sa fille, puis elle disparaît comme un nuage.
“Non revient s'il te plait…Lilas !...Je t’aime ma puce…”Il prend conscience que cela était dû à son imagination et à l'alcool, il prit une potion pour désaouler mais dans cette fiole il ne restait que quelques gouttes, il buvait ses quelques gouttes ce qui a pour effet de diminuer un peu les effets de l’alcool, il resta quelques secondes le regard vide puis éclate en sanglot après avoir vécu cet hallucination, quelques minutes plus tard il se calme et prend une profonde inspiration.
Il s'approche délicatement de la chambre et ouvre la porte avec douceur, il vit Zélina en boule sur le lit, la chemise qu'il avait laissée ici entre ses mains. Eschweilera, son fléreur, était blotti contre elle, essayant de la réconforter. Diego s'approcha doucement, sans dire un mot, et s'assit sur le bord du lit.
Il la regarde blottit dans se lit avec sa chemise sur elle, Zélina pouvais voir les yeux de Diego abimé a cause des larmes qu'il a déverser plus tôt et lui dit.
“Ecoute…Je suis désolé de ce qui sait passé…Je voulais pas que sa derape comme ca”
Il prit une grande inspiration et continua, il lui explique son passé, comment et pourquoi il avait simulé sa propre mort, l’assassinat de sa femme et de sa fille Lilas, des larmes silencieuses commence a coulé sur son visage.
“Voila tu c’est maintenant pourquoi j’ai ce penchant pour l’alcool…”
Il posa sa main sur son épaule et lui dit.
“J’ai réagit comme ça car j’ai était jaloux de te voir avec un autre homme…Comment te dire…Depuis la mort de ma femme je ne m'attache pas aux autres femmes, je m’amuse je vais a droite et a gauche sans me soucier de ce qu’elles ressentes…Mais avec toi c’est différent je le sais depuis des mois mais depuis ce soir cela ma confirmé…je suis désolé Zélina j’espère que tu va me pardonné”
Il se leva et s'apprête à quitter la pièce, juste avant de refermer la porte il marque un stop, il est dos à elle , le visage tourné vers la sortie et lui lâche.
“Je t’aime Zélina…”Il referma la porte derrière lui, retourna à son comptoir et alluma une cigarette.
Elle est dans le lit totalement roulée en boule, sa chemise dans les bras. Elle la sent pour tenter de se réconforter alors qu'elle est partagée entre la colère et la tristesse. Elle ressent la présence de son flereur qui tente de la réconforter mais rien ne peut réellement apaiser la détresse dans son cœur. Elle l'entend entrer et voit son regard plein de larmes. Son flereur feule sur Diego, en colère contre le responsable de l'état de son humaine mais Zelina l'apaise d'une caresse. Elle l'écoute et culpabilise de ne pas l'avoir interrogé auparavant. Elle l'écoute jusqu'au bout les larmes aux yeux. Elle est ébahi de ses derniers mots et met quelques secondes à réaliser. Elle se lève alors et le rejoint dans son bar.
"Non mais qui dit je t aime et part ensuite. C'est la pire déclaration je tiens à le dire".
Elle tente de rire alors qu'elle a encore les larmes aux yeux. Une tentative d'alléger l'atmosphère avant de redevenir sérieuse.
"Je ne me suis jamais attaché à aucun homme et je n' ai jamais eu de relations réellement sérieuses. J'ai toujours été plus proche des créatures magiques, m'occupant exclusivement d'elle au point d'aller vivre au milieu de la forêt Amazonienne. Je suis rentrée de force de par ma maladie et je t'ai rencontre. Depuis plus rien n'est pareil. Tu as été un phare alors que je traversais une nuit sans fin. J'ai fini par avancer et tu t'es emparé de mon cœur au fur et à mesure. Comme le venin qui s'instille dans les veines. Au départ il est invisible puis d'un coup ses effets se font sentir. Ce soir je m'en rends compte alors que te voir avec une autre femme était juste insupportable".
Elle vient l'enlacer et lui murmure dans le creux de l'oreille.
"Je t'aime aussi. Je ne veux pas que cela s'arrête ainsi. Tu m'as blessé, je t'ai blessé mais j'aimerais que nous arrivions à reconstruire sur de nouvelles bases. Est-ce que tu le désire toi aussi ?"
Elle est totalement sincère avec lui.
"Je veux aussi être la pour toi, être ton phare dans cette tempête que tu traverses jusqu'au jour où tu n'auras plus besoin de l'alcool pour oublier. Peut-être qu'un jour mon simple regard suffira à te donner envie de te lever le matin. En tout cas tu peux compter sur moi. Je te présente mes excuses de ne pas avoir été là avant pour toi alors que tu as tout fait pour moi".
Elle lui murmure alors dans un sourire taquin.
"Tu verras je suis mieux que l'alcool. Je peux te faire des choses que la bouteille ne pourra jamais. Et certaines que tu ne pourras jamais faire à une bouteille. Imagine si tu dois enchaîner une bouteille. C'est un coup à ce qu'elle soit cassée et qu il y ait du verre partout après. Par contre je suis un peu plus casse pied qu'une bouteille et je parle davantage. En même temps c'est pas difficile"
Elle retrouve sa tendance à raconter beaucoup de bêtises. Elle l'embrasse autant par passion que par volonté de se taire. Elle va finir par le faire fuir. Elle l'étreint alors dans ses bras tout en l'embrassant avec fougue.
Diego observe Zelina avec un regard rempli d'affection et de compassion. Il la laisse s'exprimer sans l'interrompre, tout en ressentant sa douleur et sa tristesse. Il est touché par sa vulnérabilité et sa franchise, et il sent que leur lien est plus fort que jamais.
"Je suis désolé de t'avoir blessé, Zelina"répondit d'une voix douce."Je ne voulais pas te faire de mal, je suis juste... je suis juste perdu en ce moment."
Il s'approche d'elle et la prend dans ses bras, laissant son étreinte la réconforter. Il sent son cœur battre fort contre sa poitrine, et il sait qu'il est prêt à tout pour la protéger.
"Je t'aime, Zelina", dit-il finalement."Je ne veux pas te perdre. Je suis prêt à tout faire pour que nous puissions reconstruire sur de nouvelles bases, pour que notre amour puisse être plus fort que jamais."
Il caresse les cheveux de Zelina, sentant la douceur de ses boucles contre ses doigts. Il sait qu'elle est différente de toutes les autres femmes qu'il a connues, et il est prêt à tout pour la rendre heureuse.
"Je veux que tu saches que je suis là pour toi, Zelina", continue-t-il.
"Je suis là pour t'écouter, pour te réconforter, pour te protéger. Et je suis prêt à tout faire pour que tu sois heureuse. Je ne veux plus jamais te faire de mal, je ne veux plus jamais te voir triste."
Il sourit en l'embrassant doucement sur le front "Et je crois que tu as raison", dit-il enfin, avec un sourire taquin. "Tu es bien mieux que l'alcool. Tu es plus belle, plus intelligente, plus drôle... et tu ne m'as jamais causé de maux de tête, enfin presque ."
Il rigole doucement, se sentant plus léger et plus heureux qu'il ne l'a été depuis longtemps.
"Et pour répondre à ta question, oui, je veux reconstruire avec toi" dit-il avec un sourire sincère."Je veux te rendre heureuse, Zelina. Je veux que nous soyons ensemble."
Il l'embrasse de nouveau, cette fois avec passion et désir ce n’est pas un baiser comme ils ont pu avoir auparavant celui-ci était plus intense en émotion. Il sent son corps répondre au sien, et il sait qu'il est prêt à tout pour elle. Il sent sa main glisser sur la peau douce de Zelina, caressant chaque centimètre de sa peau.
"Je t'aime, Zelina", murmure-t-il contre ses lèvres.
Elle parle, lui expliquant ce qu’elle ressent. Elle tente même une pointe d’humour parce que Zélina est ainsi. Elle préfère toujours rire que pleurer. Même si ce soir, elle a navigué entre la tristesse et la colère. Ses excuses lui sont très précieuses car cela montre qu’il est capable de se remettre en question, de venir s’excuser. Une qualité importante à ses yeux et elle le sent véritablement sincère. Elle le sent bien qu’il est perdu. Elle le prend alors dans ses bras.
« Nous retrouverons le chemin ensemble alors. Nous avancerons pas à pas jusqu’à ce que tu ne sois plus perdu. Je serais ta carte ».
Elle aime le sentir ainsi tout contre elle alors qu’elle ressent sa vulnérabilité pour la première fois. Elle le sent à nu émotionnellement devant elle et ça la touche. Elle ne peut s’empêcher des pointes d’humour parce qu’elle est ainsi mais ce n’est pas une manière de minimiser. Elle a juste besoin de venir apporter de la légèreté.
« Je ne t’en veux pas Diego. Pas un seul instant. J’ai juste envie que nous avancions ensemble sur un chemin que je ne connais pas. Je serais aussi là pour toi. Nous serons là l’un pour l’autre. Je veux aussi que tu sois heureux. Si tu veux parler de ta fille, n’hésite pas si cela peut te faire du bien. Tu as aussi le droit de vouloir te confier, de pouvoir te reposer sur l’épaule de quelqu’un ».
Elle se met alors à chanter le générique de Bob le Bricoleur alors qu’il parle de reconstruire. Elle ne sait pas pourquoi ce générique lui passe en tête. Elle ne peut pas s’empêcher d’être dans la connerie après ce moment compliqué qu’ils viennent de traverser. Elle l’entraîne par la main pour qu’ils fassent une ronde sur ce générique. Elle a aussi envie de pouvoir partager ce genre de moments avec lui. Elle lui murmure en riant.
« Tu n’as pas fini avec moi. Je ne sais pas être sérieuse longtemps et j’ai toujours des idées à la con. »
Elle le regarde avec beaucoup d’affection et se laisse ensuite tombée délicatement dans ses bras et l’embrasse avec passion. Un baiser bien plus passionnel et tendre que tous ceux qu’ils ont pu échangés ensemble. Elle sent qu’ils sont désormais bien plus proches l’un de l’autre. Cette soirée a renforcé leur lien. Elle frémit alors que sa main se glisse sur son corps et elle se colle bien plus proche de lui. Elle continue de l’embrasser avec fougue et sa main à elle aussi vient parcourir avec douceur son corps. Un moment tendre et complice. Elle lui murmure alors.
« Je t’aime aussi Diego. Tu es le premier homme que j’aime. La première fois que j’aime quelqu’un plus que les créatures magiques. Personne n’a jamais pris une telle place dans mon cœur et cela fait un peur ».