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Lydia Lee [Terminée!]

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Sujet: Lydia Lee [Terminée!]
Lun 1 Fév - 22:49




État Civil


Nom : Lee
Prénom : Lydia 美珠 (Meizhu, littéralement Jolie Perle)
Origines : Sang-mêlée
Date de Naissance : 26 Avril 1988 (29 ans)
Profession souhaitée : Juriste au sein du Département de la Justice Magique
Diplôme : ASPICs (O en Arithmancie, E en Histoire de la Magie et Etudes de Runes, A en Métamorphose), avant de continuer sur un cursus de droit, se spécialisant en droit comparatif magique/moldu.
Ancienne maison : Serdaigle.
Animal de compagnie (Optionnel) : Une petite chouette hulotte ainsi qu’un gros chat angora au caractère bien arrêté.



Description


PHYSIQUE
Elle est grande, Lydia, plus grande qu’il n’y parait, mais elle ne semble toujours pas en être persuadée. Elle qui a grandi tard, qui a été connue jusqu’à ses quinze ans comme « la petite chinoise », elle n’en continue pas moins à se percher sur des talons haut, qui lui font gagner dix centimètres en taille et en assurance. Sa capacité à courir partout et à porter d’énormes dossiers avec ce genre de chaussure attire toujours l’admiration de ses collègues, par ailleurs. Qui aurait pu imaginer que sous cette silhouette gracile, presque squelettique, se cachait une si grande force ?
Si elle peut sembler un peu froide, un peu ailleurs, elle cache un sourire solaire, dévoilant toutes ses dents, et un caractère expansif lorsqu’elle se sent en sécurité. Ses mouvements deviennent plus grands, plus amples, ses sourires plus fréquents, ses yeux pétillants. Ce qui peut surprendre ceux qui ne la connaisse que dans un cadre professionnel, où elle est la juriste simple, efficace, méthodique et souvent un peu froide.
Elle se retrouve néanmoins dans ses yeux, cette chaleur. Dans ses yeux sombres si expressifs, qui contrastent vivement avec sa peau crème. Lydia s’en amuse, de son visage, s’en servant un jour comme le canevas pour un dessin élaboré, le laissant vierge de tout ornement le second. Si la génétique a été tendre avec elle, elle pense surtout que l’image que le miroir lui renvoie ne doit contenter qu’elle. Le seul élément physique dont elle prend le plus grand soin, ce sont ses longs cheveux noirs, soyeux, et surtout raide à en pleurer, qui encadrent son visage d’une manière qu’elle trouve très peu flatteuse. Si elle a eu sa période rebelle à l’université, teignant sa chevelure de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel (sa préférée restant ce bleu lavande), elle est revenue à sa couleur naturelle, les bouclant ou les relevant au fur et à mesure de ses envies. Elle est adulte, maintenant, une professionnelle, et elle se doit d’avoir un semblant de présentabilité.

PSYCHOLOGIQUE
Que ce soit du à son éducation dans une famille chinoise stricte mais aimante (BBC – British Born Chinese – dit-elle souvent en riant), Lydia a toujours été tenue à des standards très élevés ainsi qu’à une excellence intellectuelle et académique. C’est un principe qu’elle a intériorisé très jeune, et auquel elle est, à l’aube de la trentaine, infiniment reconnaissante. Selon elle, c’est ce qui la pousse à sa méthode rigoureuse, à son aisance à répondre aux ordres et aux tâches qui lui sont données. Efficace. Compétente. Réactive. Intelligente. Tout cela sont des termes que ses professeurs et ses supérieurs ont utilisés en parlant d’elle. Arriviste, pour certains, elle qui grimpe les échelons et cherche à plaire à tous sans vraiment se dévoiler, elle qui ne dira jamais non lorsqu’une tâche supplémentaire lui est donnée ou qu’un imprévu arrive.
C’est qu’elle est perfectionniste, Lydia, et que si elle se sait capable de quelque chose, elle le fera toujours parfaitement. Ou, si elle se sait incapable de le faire, ne le fera pas du tout. Ou, avoue-t-elle souvent, c’est tout simplement qu’elle a développé une capacité assez impressionnante à faire en une heure le travail de huit. Elle ne se dirait pas paresseuse, mais il faut avouer que la notion de date butoir est pour elle un concept parfois difficile à cerner.
C’est pour cela qu’elle est aussi contente d’avoir trouvé un emploi en tant que juriste – les différences de culture, que ce soit entre pays ou entre monde moldus et magique, l’ont toujours intéressé et maintenant, elle est payée pour l’étudier, pour régler des problèmes, pour travailler en lien avec ce sujet qui la passionne. Même si cette passion, pour un observateur, peut parfois être difficile à observer. Elle a juste été élevée dans l’idée que l’image qu’elle renvoie au monde est importante, et que partager ses sentiments, ses émotions plus profondes, est un privilège qu’on ne partage qu’avec peu. Alors, elle est cordiale, amicale, mais jamais réellement proche de quiconque elle ne connait pas.
Lorsqu’on la connait de plus près, les adjectifs changent. Souriante, fantasque, parfois trop empathique, passionnée. Paresseuse, chef-ès-procrastination. Apprécie la bonne nourriture, et n’hésitera jamais à nourrir l’entièreté de son palier de raviolis, de soupes, de nouilles lorsque, une fois encore, elle en aura fait trop. Est parfois un peu trop butée et n’apprécie pas de se faire remarquer ses défauts. Est difficile à approcher mais loyale dans tous les aspects de sa vie. Ce n’est pas pour rien que le Choixpeau avait pendant longtemps hésité entre Gryffondor et Serdaigle.



Votre Histoire



C’est à Soho, dans le Londres moldu, que naît Lydia dans une famille comprenant déjà un petit garçon de trois ans. Petit garçon qui trouvait très intéressant ce bébé aux grands yeux ardoises et à la tête nue, qui cherchait désespérément à attraper sa main lorsque celle-ci passait devant ses yeux. Aussi loin qu’elle se souvienne, Lydia s’est toujours très bien entendue avec son frère. A tout ceux qui pensait que le petit Mark deviendrait jaloux de l’attention que ses parents accordaient à la cadette, cela fut une grande surprise.

Ce fut donc dans le Londres moldu, au sein de la petite communauté chinoise magique que les enfants Lee, vite rejoint par une petite Agnès, grandirent, jouant dans les cours que les maisons du voisinage partageaient, dans un joyeux mélange d’anglais, de mandarin et de dialectes en tout genre. Pour la plupart de la communauté magique, cet endroit était complètement inconnu – enclave chinoise, enclave magique dans le monde moldu, tous cherchaient à rester séparés, d’une certaine manière. Même si Lydia ne le comprit que bien plus tard, tous cherchaient à faire profil bas, à ne pas se faire remarquer, à garder leur identité chinoise en cherchant à oublier les horreurs qui les avaient poussés à partir. On ne parlait pas du grand bond en avant, de la révolution culturelle, de la normalisation des communautés magiques. On parlait des canaux de Suzhou, de la colline aux feuilles rouges de Pékin, des marchands des rues de Shanghai, tout cela dans un joyeux mélange d’accent et d’odeurs.

Petite fille vive et studieuse, Lydia grandit entourée d’amour, de nourriture, et de la rigueur de ses parents – envoyé à l’école moldue avec son frère et sa sœur, elle se faisait vite remarquer comme une élève efficace, intelligente, studieuse. Parfois un peu trop solitaire, un peu trop collée à son aîné, mais toujours agréable. Têtue comme une mule, et capable de beaucoup de chose à la suite de paris stupides. Son premier acte de magie fut de ressouder seule son poignet droit à la suite d’une chute du haut des cages de foot – ce qui conduisit ses parents à lui faire porter un plâtre pendant un mois pour éviter les questions embarrassantes. Elle avait sept ans, et comprit vite que si parfois les crayons arrivaient vers elle sans qu’elle les touche et les fleurs semblaient reprendre de leurs couleurs lorsqu’elle était proche, elle devait le garder pour elle. C’était son secret, à elle et au reste de leur petite communauté.

La guerre lui passa au début complètement au-dessus de la tête, petite fille qu’elle était. La communauté entière déménagea et s’éparpilla dans le Londres moldu, quittant leurs emplois dans le monde magique, cherchant à faire profil bas, et si elle sentait que les mots bas de ses parents et des amis n’avaient rien de rassurant, elle ne s’inquiéta pas outre mesure. Jusqu’à-ce que son frère, mi-1997, rentre précipitamment de Poudlard. A la vision du visage grave de son frère, son uniforme froissé, aux côtés de son père sur le palier de la porte, elle comprit vite que la vie normale qu’ils avaient était finie.
Une semaine plus tard, la famille était repartie en Chine. Cette Chine qu’ils avaient quitté par peur des persécutions, ils y retournaient pour les mêmes raisons. Logée chez une vieille tante dans le quartier magique de Shanghai, Mark continua son éducation sous la direction de son grand-père, Lydia dessinant et apprenant auprès de sa grand-mère les rudiments du chinois écrit. Ce qui ne l’empêchait pas, une fois les leçons finies, d’aller se cacher sous la table du salon pour espionner les cours de son frère.
Elle comprenait l’idée abstraite de la guerre. Elle comprenait que ses parents espéraient que cela ne durerait pas et qu’ils pourraient bientôt rentrer plutôt que de rester dans ce pays avec lequel ils n’avaient plus beaucoup de liens. Pour elle, cela voulait simplement dire qu’elle était séparée de ses amis, que la langue qui l’entourait était un dialecte étrange qu’elle ne comprenait pas, et que son frère avait l’air plus grave qu’auparavant. Que les rues dans lesquelles elle jouait étaient pavée de pierre et non de goudron. Qu’elle avait ses cousins, ses grands-parents, ses oncles et ses tantes dans la même maison qu’elle, qu’elle apprenait à écrire avec sa grand-mère, à cuisiner avec sa tante, à jouer avec ses cousins.

Adulte, lorsqu’elle repensa à cette période, elle fut stupéfaite par le peu d’influence que la guerre avait eu sur elle, sur sa vie, comparé aux autres enfants de sa génération. Tous avaient été marqués par un membre de leurs familles, un évènement, un grand frère, une grande sœur. Pas elle. Elle ne savait pas si elle devait en être contente, mais cela l’avait définitivement mise à part du reste de la société.

Elle rentra à Poudlard en septembre 1999. Un an après la première rentrée. Un an après leur retour en Angleterre, qui dans son petit monde d’enfant, son monde moldu, n’avait pas tant changé que cela.
Son premier réel contact avec l’Angleterre en reconstruction est à Poudlard – les élèves à l’air trop grave, le Choixpeau qui l’envoie à Serdaigle, les marques sur les murs et les jeunes arbres dans le parc. Elle ne se fait pas vraiment remarquer, elle qui reste un peu timide et qui ne sort pas vraiment du groupe d’amis de sa maison. Mais elle sent très bien la différence de point de vue, de resesnti.
Cela s’estompe au cours des années, au fur et à mesure qu’ils grandissent. Elle s’essaye au Quidditch, brise ses deux poignets et décide sagement d’en rester là. Découvre ce que c’est, après avoir passé sa vie dans le Chinatown de Londres et les quartiers magiques de Shanghai, ce que c’est d’être là seule à ne pas avoir la peau blanche et les yeux clairs. Découvre que tout le monde s’attend à ce qu’elle soit bonne élève, silencieuse, un peu froide, et que si elle correspond au stéréotype que sa couleur de peau laisse penser, elle est bien plus que cela. Répond d’un air exaspéré à tous ceux qui lui demande que non, même si elle parle le mandarin, elle ne l’écrit pas bien. Que non, elle n’est pas de la famille de Cho Chang ou de toute autre asiatique présent dans l’école. Elle est bonne élève, là n’est pas la question, mais elle découvre bien vite que les matières qui l’intéresse ne sont pas la métamorphose, les sortilèges, la défense contre les forces du mal ou tout autre matière magique brute. Non, ce qui l’intéresse, c’est débattre, réfléchir, commencer des discussions. Elle s’épanouit à Serdaigle, s’épanouit auprès de ses camarades de chambrée qui sont toujours ravies de commencer vers minuit un débat sur l’origine de certaines formes de magies.
Elle est peut-être un peu trop intense pour une adolescente de quatorze ans.

Passionnée, elle qui retournait tous les ans voir sa famille en Chine se prend d’une fascination pour les différences culturelles entre les deux pays, qu’elle personnifie à l’extrême. Elle suit ses oncles et tantes, cherche à comprendre comment ils se servent de leur magie, comment elle diffère de la sienne, quels sont les codes qui la régisse…
Elle essaye de se remettre à l’écriture, découvre assez vite qu’elle aura bien plus de difficultés que ses cousins qui l’apprennent depuis leur plus tendre enfance. Passe le plus clair de son temps auprès de sa tante, avocate renommée.
C’est son premier réel contact avec la vie dans les tribunaux, la vie légale. Avec la dictature, également. Si la Chine n’est plus le pays de Mao que ses parents ont fui, des années auparavant, elle n’en reste pas moins un régime d’oppression, de censure, d’arbitraire. Tous les matins, quand elle descendait récupérer le courrier, il y avait toujours plusieurs Beuglantes, plusieurs lettres à l’aspect peu avenant, auxquelles Ailing ne jetait qu’un coup d’œil avant de les jeter au feu. Tous les jours, lorsqu’elle sortait acheter le déjeuner, elle sentait un regard posé sur son dos. Toutes les semaines, au moins, des membres du ministère venait frapper à la porte. Elle jouait un jeu dangereux, Ailing.
Au début, elle regarda d’un air un peu distant cette nièce étrangère, au mandarin teinté d’anglais et de cantonais, qui reste silencieusement près d’elle, écoute, lui demande toujours si elle a besoin d’aide. Qui lit beaucoup, qui s’informe, qui discute avec ceux qui vienne lui demander de l’aide. Qui parfois, dépose sur son bureau une petite note, rappelant une ancienne jurisprudence, une ancienne affaire.
A partir de sa cinquième année, c’est à Suzhou, auprès de sa tante, qu’elle passa la majorité de ses vacances. Ailing l’appelait en riant son assistante, sa petite souris qui lui retrouvait toujours tout, et sans qui elle se sentait bien désemparée durant l’année.  Mais qui, dans le même temps, la renvoyait souvent, l’empêchait de trop s’impliquer. Sa position, lui expliquait-elle, était trop sensible, trop mal-assurée. S’il lui arrivait quelque chose, elle ne voulait pas l’entrainer avec elle. Lydia comprenait. Cela ne l’empêchait pas de continuer. Encore, l’idée de la répression était pour elle un peu lointaine, elle qui avait grandi dans la démocratie anglaise, elle qui n’avait jamais dû faire attention à ses mots. Mais elle comprenait les dangers. Elle avait grandi dans la pensée chinoise que l’apparence, les relations, le visage qu’on offre au monde doivent être des choses que l’on contrôle et adapte. Ici, elle s’adaptait à cette Chine qu’elle aimait, mais qu’elle ne comprenait pas.

Elle qui durant sa cinquième année avait dit à sa directrice de maison se destiner sans doute à l’Histoire revient en sixième année lui annoncer triomphalement qu’elle a changé d’avis. Elle ferra du droit, elle aidera les autres, elle dénichera des affaires obscures. Elle passe ses ASPIC dans des matières majoritairement théoriques, s’en sort honorablement.
A dix-sept ans, elle rentre en cursus de droit, et s’arrange pour passer une partie de son cursus dans le monde moldu. Cinq ans de sa vie, qu’elle passe entre le monde magique et le monde moldu, comparant et contrastant ce qu’elle connait des deux mondes.
Elle quitte le Soho chinois pour s’installer dans les environs du British Museum, en compagnie de deux sorcières rencontrées un peu par hasard – Mathilde, une française exubérante et solaire, et Ella, norvégienne souriante et cynique, qui reste deux de ses amies les plus proches. Ce n’est que lorsqu’elles rentreront au pays pour Mathilde ou partiront s’installer un petit ami pour Ella que les trois se sépareront.

Elle rentre officiellement au ministère à 24 ans, ayant prit une année pour vivre avec ses parents, retournés en Chine, et servir d’assistante et de juriste à Ailing. Son premier emploi n’a rien de passionant – elle assiste un membre du Magenmagot proche de la retraite, qui visiblement n’a qu’une seule hâte : partir et ne plus avoir de responsabilités. Elle se charge de tout, que ce soit les recherches, les rédactions de plaidoirie, l’organisation de réunions, et les comptes-rendus de séances, bien trop nombreuses, auxquelles il ne se rend pas.
C’est pourquoi, dés qu’elle est approché par le Département de la Justice Magique pour un poste de juriste, elle saute sur l’occasion. A 28 ans, elle est juriste spécialisée en droit comparé magique/moldu et en droit magique international, et si elle reste encore la petite nouvelle, si elle est encore chargée parfois des tâches ingrates, on commence à la reconnaître à sa juste valeur. Doucement mais sûrement.



Hors RP


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Où nous avez vous trouvé ? Topsites et fouinage autour d’internet !



Dernière édition par Lydia Lee le Mer 3 Fév - 23:05, édité 3 fois
Vela
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Sujet: Re: Lydia Lee [Terminée!]
Lun 1 Fév - 23:23
HAHA ! Bienvenue sur le forum ! Si je ne me trompe pas, tu es donc l'invitée qui souhaite reprendre le rp chez nous ? Quoiqu'il en soit, j'en connais une qui va être heureuse de te faire visiter le ministère (n'est pas Olivia ? :p)
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Sujet: Re: Lydia Lee [Terminée!]
Lun 1 Fév - 23:25
BIENVENUUUUUUE ! J'espère que tu t'amuseras bien ici ! ^^
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Sujet: Re: Lydia Lee [Terminée!]
Mar 2 Fév - 0:04
Bienvenue sur l'forum ! Et bonne chance pour la fin de ta fiche pony01
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Sujet: Re: Lydia Lee [Terminée!]
Mar 2 Fév - 0:04
Ouuuh une nouvelle au ministère !

Bienvenue Lydia ! Amuse toi bien parmi nous !

N'hésite pas si tu as la moindre question en tout cas Smile

J'ai hâte de lire ta fiche kyaaa
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Sujet: Re: Lydia Lee [Terminée!]
Mar 2 Fév - 0:50
Ted Lupin a écrit:
Quoiqu'il en soit, j'en connais une qui va être heureuse de te faire visiter le ministère (n'est pas Olivia ? :p)

J'vois pas de quoi tu parles. J'ai pas sauté de joie en voyant qu'elle était au Ministère. Non. C'est faux.

Pitié Pitié pony01 rainbow01 Cheeleader01 dancing02

HIIIIIII COLLEEEEEEGUE !! Very Happy Bienvenue parmi nous, courage pour ta fiche, t'inquiète pas on est sains d'esprit ici. Plus ou moins.
Et à nous deux on va conquérir le Ministère et le monde, ouesh.
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Sujet: Re: Lydia Lee [Terminée!]
Mar 2 Fév - 10:54
Bienvenue chez nous !

C'est cool d'aider Liv à peupler le Ministère x)
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Sujet: Re: Lydia Lee [Terminée!]
Mar 2 Fév - 13:00
Bienvenue baloon01

Elle est absolument sublime la célébrité que tu utilises. Une nouvelle au ministère, génial brill En tout cas, bonne chance pour la suite de ta fiche (':
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Sujet: Re: Lydia Lee [Terminée!]
Mar 2 Fév - 16:53
Bienvenue à toi !

J'espère que tu te plairas ici Smile
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Sujet: Re: Lydia Lee [Terminée!]
Mar 2 Fév - 18:05
Merci beaucoup pour tous vos mots gentils!

Ted: et oui, c'est bien moi - disons que quand je décide quelque chose, je le fait vite, et Lydia est un perso que j'avais à l'arrière de la tête depuis bien longtemps donc je suis ravie de pouvoir la jouer! Smile

Olivia: Ouiiiiii, conquérons le Ministère et le monde, ce sera cool. Je suis ravie de t'aider à étendre ce monde, chère collègue!

Fred: Je dois dire que je suis d'accord avec toi, elle est à tomber par terre *.* C'est pour ça que je l'ai choisie, même si elle a pas forcément des masses de ressources sur internet ^^

Merci encore, et j'ai hâte de tous vous rencontrer! Je retourne finir ma fiche, moi :=
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Sujet: Re: Lydia Lee [Terminée!]
Mar 2 Fév - 18:22
Hey, bienvenue! (Non je ne suis pas un peu en retard.)
rainbow01
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Sujet: Re: Lydia Lee [Terminée!]
Mer 3 Fév - 23:08
Fiche terminée! J'espère ne pas être trop à côté niveau chrono ^^
Le Choixpeau Magique
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Sujet: Re: Lydia Lee [Terminée!]
Jeu 4 Fév - 1:02





“Le peuple donne les forces, et le gouvernement les lumières.” Rivarol






Félicitations ! Nous sommes ravies de vous accueillir au sein des employés du ministère !

Mais avant de commencer à jouer, n'oubliez pas de faire un passage ICI et LA. Pendant ce temps, nous nous occupons de vous donner les accès à votre département.

Etre employé au ministère de la magie comporte certaines responsabilités, c'est pourquoi nous vous demandons beaucoup de sérieux dans votre travail. Nous ne doutons pas que vous relèverez le défi haut la main et saurez vous montrer professionnel et consciencieux pour veiller sur les sorciers du Royaume-Unis !

Trêve de bavardage, il est temps pour vous d'aller rejoindre votre bureau et de vous mettre au travail !


Le Choixpeau Magique



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Sujet: Re: Lydia Lee [Terminée!]
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