Nom : Murphy.
Prénoms : Joan Kelsey.
Origines : Sang-mêlées.
Date de Naissance : 6 janvier 2001.
Année souhaitée : 6ème année.
Animal de compagnie (Optionnel) : Une chouette de couleur blanche.

PHYSIQUE
Elle aurait pu être reine, tous les battre. Elle aurait pu tous les réduire à l'état de poussière par un, par deux ou même par neuf, mais elle n'avait pas les épaules pour. A la place, elle se contente d'être le fantôme perdu au beau milieu de la foule. Sa taille n'y aide pas, son petit 1m60 ne lui accorde que le plaisir de pouvoir se cacher avec facilité dans les endroits exigus. De ce fait, sa taille de guêpe lui accorde elle aussi un petit bonus dans le cadre d'une série de cache-cache effrénée ; même si ses courtes jambes ne l'emporteront pas bien loin. Elle n'a pas le profil d'une sportive de haut niveau, loin de là. Elle ressemble plutôt au petit rat de bibliothèque qui n'a de cesse de baisser le regard. Et, c'est peut-être ce qu'elle est, ni plus ni moins.
Elle aurait bien voulu ressembler à tous ces mannequins qu'offre la télévision moldue. Avoir les mêmes sourires devant la caméra, posséder une paire d'yeux bleus étincelants, et un teint de pêche que même l'adolescence n'oserait souiller. Elle aurait bien aimé attraper d'une poignée de fer tous ces rêves qui s'affichaient devant ses yeux en amande, d'une couleur noisette froide et sans panache. Elle n'avait pas non plus des pommettes saillantes ; ses joues avaient gardé leur graisse de bébé. Quand son image se reflétait dans un miroir ; on voyait très clairement des cernes sous ses yeux et son teint était resté blanchâtre depuis quelques années. Peu importe combien de fois elle essayait, le sourire n'était pas celui souhaité. Il n'était pas plein d'ambition, de joie de vivre : il n'était qu'un amas de muscles tirés ensemble dans un même effort afin de montrer ses dents blanches. Si l'on regardait plus haut, on apercevait une cascade de cheveux blonds qui atterrissaient aux environs de sa poitrine. Ils étaient droits comme la justice, et plutôt sombres.
Si on prenait le temps de jeter un coup d’œil dans sa garde-robe, on verrait souvent des couleurs sombres, comme le noir, le gris ou bleu foncé. Elle se contente de vêtements moldus pour la plupart du temps ; mais mettre des vêtements de sorcier ne la déragerait pas le moins du monde.

PSYCHOLOGIQUE
Bien qu'elle haïsse être mise dans une catégorie, la plupart des gens la voyaient comme la muette du fond de la classe ou comme un fantôme passager qui ne restera pas longtemps qui l'on continue de la taquiner. Joan a toujours aimé la solitude, comme celle que l'on ressent le dos contre la porte de sa chambre, quand nos respirations s'avèrent être les seuls sons dans la pièce. Mais elle aimait et détestait cela à la fois, son cœur se balançant entre les deux. Au final, elle restait seule, pleine de regrets et de remords, en attendant que tous ces sentiments flottent un jour au dehors. Et elle attendait. Longtemps. Et elle attend toujours.
Le matin quand elle se levait après une courte nuit, il y avait toujours ce marteau dans son crâne, qui hurlait des insanités à travers des pics de douleur. Il y avait toujours cette main qui dérivait vers sa table de chevet afin d'attraper un de ces livres qu'elle adorait ; c'était son monde, les escaliers qui menaient à son esprit de fin limier. En effet, ses capacités d'observation étaient excellentes, rien ne pouvait lui échapper dans son champs de vision ; du moins quand son cerveau était bien sur les rails. Ses parents avaient toujours les mêmes mots concernant son intelligence et son envie d'approfondir ses connaissances à la bouche, toujours les mêmes tirades frimeuses qui n'étaient que de la poudre aux yeux. Les gens ne s'intéressent pas à elle, ils ne la connaissent pas assez pour la trouver assez originale.
Sa chambre, c'était un peu son royaume. Parfois on y entendait les douces mélodies d'un violon, déposé sur le squelette fébrile de Joan adossée à une pile de livres. Elle réfléchissait à l'aide de l'odeur du papier et du son des cordes frottées ; elle créait ses propres mélodies et ses propres textes avec ses doigts de fée. Elle faisait des poésies, parfois, et ses rimes devaient être la faute d'une haine crachée que trop tard. Ses idées étaient excentriques ; un jour un dragon volait librement dans son esprit puis le lendemain c'était un centaure d'une droiture sans pareille qui venait lui rendre visite. Elle connaissait un paquet de choses, mais même elle a ses lacunes. L'histoire. Sa bête noire. Cette matière lui importait peu comparé aux myriades d'étoiles qui la fascinaient ; retenir des dates et des noms fut un obstacle immense à contrario avec l'apprentissage de la galaxie et plus encore.
Au fond, une fois qu'elle parlait, elle pouvait s'exprimer librement, sans les remparts de son esprit. Étonnamment, Joan a une certaine tendance au sarcasme quand sa langue est dépliée ; et ses cellules nerveuses auraient certainement le malheur d'exploser un beau jour de rage - ce qui pourrait donner naissance à des conséquences désastreuses. C'est peut-être logique ; à force d'être solitaire, d'être sur les nerfs quand on vous taquine.Malgré tout cela, elle a tendance à prendre les gens de haut, après les avoir bien observer. La plupart des gens sont des idiots. Et à ses yeux, même si elle a des difficultés à l'avouer, elle ne vaut pas mieux. Mais voilà ce qu'elle est. Une coquille froide à détonation ; qui garde en elle-même un cœur tendre prêt à aimer et un profond mal-être.

Matière préférée : Astronomie.
Matière exécrée : Histoire de la magie.
Options choisies (à partir de la 3è année) :Arithmancie et étude des runes.
Notes aux BUSEs : Histoire de la magie : T
Métamorphose : A
Défense contre les forces du mal : O
Potions : A
Botanique : P
Sortilèges : E
Astronomie : O
Arithmancie : D
Etudes des runes : E

Votre texte (Ne soyez pas trop avare... Il pourrait vous être demandé plus de détails)

Prénom : Mathilde.
Age : Je suis un elfe de 15 ans.
Personne sur votre avatar : Taissa Farmiga.
Où nous avez vous trouvé ? Google est mon ami. ~