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Augustus Duncan ♠ Old age should burn and rave at close of day [Terminée]

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Sujet: Augustus Duncan ♠ Old age should burn and rave at close of day [Terminée]
Mer 20 Juil - 2:30




État Civil


Nom : Duncan
Prénom : Augustus
Origines : Sang-pur
Date de Naissance : 31 mai 1934, pour un total de 82 ans
Profession souhaitée : Professeur d'astronomie
Diplômes : Équivalents BUSE et ASPIC de Uagadoo
Ancienne maison
Animal de compagnie



Description


PHYSIQUE
Le moins que l'on puisse dire à propos d'Augustus c'est qu'il n'est plus tout jeune. Fier de dépasser les quatre-vingt ans, il arbore ses cheveux blancs toujours bien peignés en arrière, à l'instar de sa barbe et de sa moustaches, blanches comme neige, taillées à la perfection jour après jour, cachant par endroits un visage pâle et ridé, preuve de toutes les années qu'il a vu défiler sur cette terre. Une chose est sûre, c'est que son âge avancé ne lui sert pas d'excuse pour se laisser aller. Ses vêtements, bien que relevant d'une mode d'un ancien temps même pour la mode sorcière, sont toujours parfaits, sur mesure, et coûtent visiblement bien plus que son salaire de professeur ne devrait le lui permettre.
Quelque part, il représente cette distinction que l'on attribue à ses aînés qui ne disent jamais un mot au dessus de l'autre, qui savent toujours que faire, que dire, qui ne font jamais un faux pas. Marchant vite et fièrement à l'aide de sa cane en ébène, il ne renvoie cependant pas l'image de la personne âgée sénile qui perd peu à peu la boule. Il est peut-être rouillé et fatigué, mais il sait toujours très bien ce qu'il fait. Celui qui le verra se baver dessus sans faire exprès n'est pas encore né, comme peuvent l'attester ses pupilles grises tranchantes ou encore son ton acerbe qui saurait remettre tout le monde à sa place.

PSYCHOLOGIQUE
Augustus sait ce qu'il vaut, et il vaut mieux que tout le monde. Ça il ne manquera pas une occasion de le faire remarquer au premier venu. Fort de sa sagesse accumulée au fil des années, il sait tout mieux que tout le monde, et le pire dans l'histoire c'est qu'il a souvent raison. Cependant, lorsqu'il tombe sur quelqu'un qui mérite son intérêt, il est tout de suite bien plus agréable, plus délicat dans ce qu'il dit. Faire fuir les imbéciles c'est une chose, mais s'attirer les bonnes grâces de ceux qui le méritent c'en est une autre.
En effet, Augustus peut parfois donner l'impression de tout faire par simple intérêt, et ce n'est que rarement loin de la réalité. C'est ainsi qu'il fut éduqué en même temps, mais cela lui permet surtout de gagner du temps avec ceux qui n'ont rien à lui apporter. Avec le peu de jours qu'il lui reste sur cette terre, il ne peut plus vraiment se permettre de les gaspiller avec n'importe qui.

Et pourtant, malgré tout cela, il est professeur. Paradoxal pour quelqu'un qui semble détester tout le monde, surtout les jeunes. L'explication est cependant assez simple, il nourrit depuis enfant une véritable passion pour l'astronomie. Ainsi, une occasion de pouvoir partager cette fascination avec le plus de petites têtes blondes possible ne se rate pas. Il aime apprendre et apprendre aux autres, c'est peut-être une manière pour lui de s'affirmer comme supérieur à ses élèves. De plus, avec ses méthodes plus vieilles qui lui, donc testées et approuvées, Augustus est un très bon professeur, dévoué et efficace, qui sait comment s'y prendre pour expliquer les choses, et surtout qui sait se faire respecter.
Autoritaire, gare à celui qui osera le contredire ouvertement, surtout sur un terrain qu'il maîtrise, comme l'astronomie. Il est le genre de professeur qu'il ne faut pas mettre de mauvais poil. Il ne s'énervera jamais ouvertement, préférant garder son calme en toute situation, mais cela ne l'empêchera nullement de sévir comme jamais aucun professeur n'a sévit.
Il n'a pas peur de ce genre de choses, parce que pour lui c'est tout-à-fait nécessaire, et le nécessaire doit être fait, la question ne se pose même pas. Pareillement, les choses sont ce qu'elles sont et se plaindre à leur sujet n'y changera rien, on ne peut plus qu'aller de l'avant et espérer que tout s'arrangera, mais jamais il n'est réel question de choix.



Votre Histoire


La vie d'Augustus fut ponctuée de regrets. Petit fils de Sir Patrick Duncan, Gouverneur-Général de l'Union d'Afrique du Sud, et cadet d'une parfaite et immaculée lignée de sang-pur d'origine néerlandaise par sa mère et britannique par son père (les Duncan s'étant lancés dans la conquête du territoire africain dés les années 1890, ils étaient absents lorsque Teignouss Nott fit le registre des familles pures de Grande Bretagne). Augustus regrettera plus tard de ne pas avoir profité de toutes les richesses qu'une vie de petit prince avait à lui offrir. Non, à la place il avait préféré faire les quatre-cent coups, cassant fenêtres, vases et les pieds de ses domestiques, allant se rouler dans la poussière qui ornait les rues du Cap au lieu d'être le parfait petit garçon comme on le lui demandait.
Puis vinrent ses onze ans, âge auquel il dû quitter l'immense domicile familial pour aller en direction de la « Montagne de la lune ». En effet, il était peut-être d'origine et de nationalité britannique, il était né et vivait en Afrique, alors il serait éduqué à la magie en Afrique, à Uagadoo, comme n'importe quel enfant africain. On le lui avait expliqué dans un rêve, et à son réveil une petite pièce logeait dans la paume de sa main, comme le voulait la tradition de l'école locale.

Là, dans l'école taillée à même la pierre d'une immense montagne entourée d'une brume si épaisse qu'en sortir semblait terriblement dangereux, il regrettait toutes les histoires que l'on lui avait raconté à propos de Poudlard, ce grand château battis au cœur de l’Écosse, cette école de renommée mondiale où il se serait senti comme chez lui. Malheureusement il n'était pas né au Royaume-Uni, il ne figurait donc pas dans leurs registres
Dans la montagne, il se trouvait souvent bien seul entre ces enfants des quatre coins de l'Afrique, dont la peau avait une couleur que ses parents lui avaient interdit d'approcher trop longtemps. Parfois, il se retrouvait avec les autres enfants de colons britanniques éparpillés dans l'empire colonial britannique, mais ils ne restaient pas souvent ensemble, car eux avaient beau être blancs, ils étaient impurs, de sang-mêlé, voire pire que tout, sang-de-bourbe.
Sa maison, ses parents lui manquaient chaque jour un peu plus. Tout ce qu'il lui restaient comme souvenirs étaient ces innombrables étoiles qui maculaient la voûte céleste qui tournait autour de la Montagne de la Lune. Ces étoiles, elles étaient exactement les mêmes lorsqu'il était dans ce maudit pensionnat ou lorsqu'il était auprès de sa famille, en Afrique du Sud. Le jeune homme pouvait alors passer des heures à les observer, essayant tant bien que mal de s'imaginer à quel point il était minuscule face à ces gigantesques orbes luminescentes, plusieurs années lumières au loin. Lorsqu'il avait le nez en l'air, Augustus se sentait enfin comme chez lui.

Il avait beau perpétuellement se plaindre de cette école dans la montagne, l'enseignement qu'il y reçut fut exemplaire. Uagadoo était réputée pour ses animagi et l'enseignement de la magie sans baguette.
Bien plus complexe, basée sur des gestes de la main, du visage ou de bonnes vieilles formules, elle se passait de cet outil en bois d'invention européenne si contraignant. Augustus pouvait alors lancer des sorts librement, sans avoir à empoigner ces longs bâtons lisses et ornés qui obsédaient tant ses parents. Le jeune homme avait au moins l'avantage de ne jamais pouvoir être désarmé et de se servir de sa magie de façon bien plus fluide. Pour réparer ou ranger un objet, pas la peine de s'arrêter, de sortir sa baguette et de lancer un sort. Pour lui, un simple claquement de doigts et le tour était joué.
Bien qu'impressionnés par ce qu'eux-mêmes étaient incapables de faire, ils eurent un peu de mal à accepter cette façon si exotique d'utiliser la magie. Ils allèrent donc jusqu'à Londres aller lui chercher sa première baguette, en guise de cadeaux de Noël. Elle était longue, vingt-sept centimètres, en bois de sapin extrêmement souple et renfermant un ventricule de cœur de dragon, nullement ornée mais qui semblait avoir été faite à partir d'une branche de bois flotté ramassé un jour sur une plage tant elle était pâle, presque tordue mais lisse. Cependant il ne s'en servait quasiment jamais, il trouvait cela ennuyeux et encombrant. Son sens pratique prenait le dessus sur bon nombre de choses.

Plus tard encore, Augustus regretta ce sens pratique qui l'eut poussé à se marier par intérêt à une sang-pur d'une famille néerlandaise locale dés ses études terminées, comme l'exigèrent ses parents afin de conserver la pureté de leur sang, et à prendre une né-moldue comme maîtresse. D'origine indienne, elle renvoyait cet exotisme que peu de femmes arboraient aussi bien. Il adorait glisser sa main le long de son interminable chevelure noire pour ensuite la passer sur ses hanches cuivrées collées contre les siennes.
De toute évidence, personne ne pouvait savoir pour cette liaison entre Augustus et Alia. Premièrement parce que pas une seule personne de la famille Duncan ne tolérerait de voir leur cadet de sang-pur batifoler avec une sang-de-bourbe, ce serait un affront incommensurable et une honte sans nom. A cela s'ajoutait une problématique raciale endémique de l'Afrique du Sud. Un homme blanc allait avec une femme blanche, un homme soir avec une femme noire, et un homme indien avec une femme indienne. On ne se mélange pas en Afrique du Sud.
Cependant cela ne semblait pas les inquiéter, leur secret semblait assez bien gardé, Alia ne sachant même pas qu'elle s'approchait d'une redoutable famille sorcière lourdement impliquée dans la branche magique de l'administration du dominion.

Augustus, lui, semblait être le seul à ne pas réellement s'inquiéter de ces conflits. De son séjour de plusieurs longues années à Uagadoo, il en avait tiré que cette obsession sur la pureté du sang était bien superficielle, il en allait de même avec la pureté raciale. Elles restaient importantes, on ne pouvait évidemment pas traiter un sang-de-bourbe au même niveau qu'un sang-pur, mais ce n'était pas une raison pour les éviter à tout prix.
Lui-même avait une liaison avec une né-moldue, parce qu'il en était profondément amoureux et que ces sentiments le dépassaient, il le savait et ne pouvait que faire avec, parce qu'il savait que cette relation était sans avenir. Il était déjà marié à une sang-pur qui, de surcroît, essayait tant bien que mal de tomber enceinte. Pourtant cela n'empêchait pas l'homme de penser à sa maîtresse chaque jour, même lorsqu'ils ne se retrouvaient pas en secret.
Alia et lui s'étaient rencontrés à Uagadoo, elle était l'une des seules élèves d'origine indienne, elle sortait du lot et c'était pour cela qu'Augustus la remarqua tout de suite. Adolescents qu'ils étaient à l'époque, ils s'étaient vite et beaucoup rapprochés mais savaient pertinemment que leur romance n'irait pas plus loin que le temps qu'ils passeraient dans l'école, jamais ils n'auraient imaginé se retrouver au Cap quelques années après avoir obtenu leur diplôme. Une fois à nouveaux réunis, le fait de se remettre ensemble semblait couler de source.

Un ou deux ans plus tard, il avait alors 26 ans, Augustus regretta de ne rien avoir vu venir. Se dirigeant vers le lieu de rendez-vous secret où il avait l'habitude de retrouver Alia, il attendit plusieurs heures avant de se rendre à l'évidence, elle ne viendrait pas ce jour-là. C'était assez inquiétant, parce que ce n'était pas du tout son genre de partir sans prévenir, surtout à l'aide de la magie qui rendait les choses si pratiques.
Alors, il rentra au manoir familial où il logeait avec sa femme et le reste de sa famille, comme l'exigeait la tradition. C'était un gigantesque manoir victorien à l'immense jardin et à l'intérieur encore agrandit par magie où toute la famille pouvait vivre sans se croiser pendant des jours. Ainsi, il paraissait logique à la famille Duncan de continuer à vivre tous ensemble plutôt que de payer pour la construction d'une autre demeure semblable, puisqu'ils avaient encore toute la place qu'il leur fallait.

Au beau milieu de l'entrée, face aux deux escaliers blancs et sous le lustre en cristal, sur une chaise en bois, le visage caché par ses longs cheveux noirs, Alia était immobile. Derrière elle, droite et franche malgré sa petite taille se tenait Eleanor Duncan, la mère d'Augustus, baguette en main, qui regardait son fils droit dans les yeux avec un mélange de déception et de colère dans les yeux. En haut des escaliers, John Duncan, son père, regardait la scène avec le même recul et le même silence que ses enfants avaient toujours connu de lui.

« Augustus... Tu as vraiment cru que personne ne s'en rendrait compte ? »

Le jeune homme alors concerné avançait, haussant un sourcil, faisant mine de ne pas comprendre de quoi elle pouvait parler.

« Ne me regarde pas comme ça, tu sais très bien de quoi je parle. Elle marqua une pause, puis commença à marcher lentement autour de sa victime. Bon, que tu ailles coucher à droite à gauche, je m'y attendais quand on a arrangé ton mariage, mais que tu couches avec... ça... Je m'avoue déçue. » Elle désigna la jeune indienne tout en parlant.

« Je ne connais pas cette femme, mère. »
Son jeu d'acteur était au point. Les parents les plus stricts élèvent les meilleurs menteurs, c'était bien connu. Dans une famille où le mensonge devait relever de l'instinct de survie, impossible de déceler le vrai du faux, à moins d'en avoir la preuve.

« Donc tu ne m'en voudras pas s'il arrive malheur à cette pauvre sang-de-bourbe ? »
Le silence fut sa seule réponse. Augustus était prit de court, n'avait aucune idée de ce qu'il pouvait dire dans cette situation. S'il avouait qu'Alia était sa maîtresse, elle mourrait. S'il n'avouait pas, elle endurerait le martyr jusqu'à ce qu'Eleanor Duncan obtienne ce qu'elle voulait, des aveux.
« Très bien. Elle brandit sa baguette vers la jeune indienne, qui depuis le début était restée immobile. Endo- »

Elle fut coupée en plein élan par Augustus qui, de quelques articulations du bout de ses doigts crispés, fit jaillir la baguette hors des mains de sa mère. « Stupefix ! » fit une voix masculine, celle du père Duncan, visant son propre enfant qui se trouva jeté plusieurs mètres en arrière, immobile et inconscient.

On le réveilla le soir-même, sur le lit de sa chambre. Allongé de tout son long comme s'il émergeait d'une sieste délibérée, sa mère tenait dans sa main la baguette de son garçon. Elle était assise à ses pieds dans cette pièce quasiment plongée dans l'obscurité totale, seulement éclairée par une petite lampe à huile victorienne dont la lumière dansante projetait des ombres inquiétantes sur les murs.

« Tu m'as énormément déçue, Augustus. » prononça-t-elle, à peine son fils réveillé. Il ne répondit pas immédiatement, se redressant sur son lit pour s'asseoir en face de sa mère. Un lourd silence s’installa avant que le jeune homme ne le brise.
« Qu'as-tu fait d'elle ? » demanda-t-il simplement, d'une voix déterminée qui cachait à la perfection toute la peur qui lui nouait les entrailles.
Eleanor Duncan ne répondit pas. Elle pointa du doigt la lampe sur la table de chevet à côté d'Augustus, qui se retourna plusieurs fois, faisant des aller-retours entre sa mère et l'objet, on ne pouvait plus décontenancé. « Fait bien attention. » précisa-t-elle.

Alors, il se rapprocha encore de la lampe, la boule au ventre face à ce que sa mère avait réservé aux deux amants, fronçant toujours plus les sourcils dans sa concentration. Et alors il la vit. L'ombre dansante, la silhouette de la femme qu'il aimait se dessinant sur le verre sale de la lampe, projetant les ombres humaines sur les murs de la chambre. L'estomac de l'homme se contracta en un instant. Alia était dans la lampe.

« Quoi ? Elle est là-dedans ? Mais... Pourquoi ? balbutiait-il, son regard allant toujours plus vite entre sa mère et la lampe qu'il tenait désormais entre ses mains.
-Cela ne pouvait plus durer. Mais où avais-tu donc la tête ? Est-ce que tu réalises à quel point tu aurais embarrasé toute la famille si cette liaison avait été rendue publique ? »
-Mais... Mais ce n'était pas une raison pour faire ça ! Nous aurions pu en parler tout simplement, entre adultes, ce n'était pas la peine d'en arriver là ! répondait-il d'une voix qui commençait à se faire tremblante.
-J'ai besoin de m'assurer que tu te tiendras à carreaux à l'avenir. Si tu fais tout ce que je te dis, il ne lui arrivera rien. Sinon, elle s’éteindra avec la flamme de cette lampe. »
Sa voix était froide, distante. La mère aimante avait disparue, ne laissant place qu'à cette harpie meurtrière. Et lorsqu'elle eut fini de parler, elle se leva et glissa la baguette de son fils à l'intérieur de la lampe, la laissant prendre feu sur la flamme qui éclairait la pièce d'un éclat nouveau bien plus fort que précédemment tandis que l'objet magique se consumait dans le feu, sifflant et se débattant mollement à l'intérieur du tube de verre. L'ombre d'Alia dansait de plus belle, balançant son corps sur la droite, sur la gauche, comme dans un balais improvisé.

« Moi seule sait comment alimenter cette flamme. Si tu essayes de le faire toi-même, elle s'éteindra et ta sang-de-bourbe de compagnie avec elle. Mes conditions sont simples ; fait tout ce que je te dis sans poser de questions et tout ira bien. » Elle approcha ses lèvres de son fils et déposa un baiser sur son front, puis sorti de la chambre.

Augustus passa toute la nuit à sangloter, seul dans sa chambre, tenant la lampe dans ses mains, l'observant pendant de longues et interminables heures. Qu'avait-il fait ? Comment avait-il pu croire que cela ne tomberai pas dans les oreilles de ses parents ? Pourquoi avait-il été si imprudent ? Maintenant, Alia était coincée dans cette lampe, une silhouette obscure sur le verre sale d'une lampe à huile était tout ce qu'il restait d'elle.
Peu importe ce qu'il en coûtait, cette lampe ne devait pas s'éteindre. La balle était dans le camp du jeune homme désormais. S'il ne pouvait s'opposer à ses parents, il devrait leur obéir.

Leurs exigences étaient simples dans un premier temps et pendant de longues années. Il devait marcher droit, se contenter de son épouse et de personne d'autre, leur donner le plus de petits-enfants possibles. Pendant toutes ces années, les sentiments d'Augustus envers sa maîtresse indienne ne faiblirent pas, tout comme la peur de voir sa flamme s'éteindre. La lueur de cette lampe était souvent son seul refuge. Quand plus rien ne fonctionnait dans sa vie, il pouvait passer des heures à contempler la chorégraphie parfois désarticulée de l'ombre de sa chère et tendre. Elle lui rappelait tant de souvenirs qu'il n'abandonnerait pour rien au monde.

Quelques temps après, en 1960, peu avant l'indépendance de l'Afrique du Sud et son départ de l'empire colonial britannique, la famille Duncan retourna au Royaume-Uni, pays d'origine d'une bonne partie de la famille, puisqu'ils n'avaient plus de poste de représentants du Ministère de la Magie britannique. Là-bas, occupant de nouveaux posts au sein du Ministère, ils espéraient retrouver bon nombre de familles de sang-pur auxquelles ils pourraient marier les enfants d'Augustus après les avoir envoyé à Poudlard, dans une vraie école de magie, contrairement à Uagadoo.

Le camp des Duncan était tout choisi. Ils étaient une grande famille de sang-pur autoproclamés, non reconnus sur la liste des vingt-huit sacrées. En même temps lorsque la fameuse liste fut rédigée par Teignous Nott dans les années 1930, ils étaient de l'autre côté de la planète, il semblait donc tout-à-fait logique que les Duncan n'y figurent pas. Ils comptaient pourtant bien faire corriger cette injustice, à grand coups d'arbres généalogiques approfondis et de textes anciens.
Ils n'en demeuraient pas moins fidèles aux autres vingt-huit familles sacrées et à Celui-Dont-On-Ne-Doit-Prononcer-Le-Nom. Toute la famille Duncan lui était absolument dévouée. Les grand-parents, mangemorts, arboraient fièrement la marque des ténèbres sur leur avant-bras tandis que les enfants fraîchement sortis de Poudlard devaient encore faire leurs preuves en tant que tel s'ils voulaient espérer obtenir ce tatouage qu'Augustus trouvait si glauque.

Le rôle que jouait Augustus, lui, était assez complexe. Il n'avait pas envie de prendre part à ce conflit qui n'était pas tant le sien. Il partageait à demi-mots leurs convictions mais ne voulait rien avoir à faire avec eux. Il était peut-être sang-pur mais se serait volontiers débarrassé de ce titre. Cependant la famille Duncan ne pouvait se permettre d'avoir un indécis parmi ses rangs, il semblait alors tout-à-fait logique pour Eleanor Duncan de se saisir de cet artefact créé spécifiquement pour faire du chantage à son fils, la lampe à huile, relique d'un amour qu'on lui avait interdit déjà plusieurs années auparavant mais qui brûlait encore si fort dans le cœur d'Augustus tout comme au cœur de l'objet. Mobile mais inchangée depuis toutes ces années, l'ombre d'Alia dansait avec toujours autant de vigueur autour de la flamme dorée.

« Pense un peu au reste de la famille. Réfléchit à ce qu'ils vont nous faire si jamais tu décides de nous trahir ? Tu es le seul qui rechigne à te lancer, même tes enfants obéissent au Seigneur des Ténèbres. Tu nous fait honte à tous. Je sais bien que tu t'en fiches, mais il n'a jamais été question de ce que tu penses. » avait-elle expliqué, glaciale comme à son habitude, maniant dans ses mains la lampe avec une telle légèreté qu'elle aurait pu la laisser choir sur le sol à n'importe quel moment. Mais elle ne le ferrait pas, parce que cette lampe restait la seule chose qui liait Augustus au reste de sa famille. « Apporte nous suffisamment de sang-de-bourbe et je te ramènerait ta maîtresse. » avait-elle conclu dans ce qui semblait être un mouvement d'extrême bonté pour les deux partis.

Alors, comme toujours, Augustus obéit. Il ne pouvait pas faire grand chose d'autre, surtout maintenant qu'il était sûr d'avoir une chance de pouvoir ramener la femme de sa vie sur cette terre. Il se rangea donc du côté obscur, ramenant chaque sang-de-bourbe qu'il trouvait à celui qui en offrait le meilleur prix. Il était même un assez bon chasseur puisqu'il excellait à l'art du combat sans baguette. Il était plus rapide que les autres et ne risquait jamais d'être désarmé. De plus, lancer des attaques surprises était beaucoup plus facile lorsque l'on avait pas à manier une arme visible. « Non non, je voulais simplement lui serrer la main, je n'avais pas du tout prévu de changer en furet. » était peut-être l'excuse qu'il employait le plus.

Une petite dizaine d'années passèrent ainsi, et Augustus mentirait s'il disait qu'il ne s'était pas, quelque part, pris au jeu. Chasser lui plaisait, se sentir supérieur à ces sang-de-bourbe et ce traîtres à leur sang, désarmés et impuissants. Mais pas une seule fois il n'agit sans se rappeler que s'il le faisait, c'était pour c'était pour Alya et pour personne d'autre.

En 1981, la première guerre des sorciers était finie, et avec elle vinrent les procès des perdants. Toute la famille Duncan y passa, mais fort heureusement, ils ne furent pas tous envoyés à Azkaban. Seuls ses parents et le fils aîné d'Augustus. Tous trois y moururent après quelques années passées à endurer les baisers des détraqueurs.
Cette nouvelle déchira l'homme qui fut, de son côté, gracié sous prétexte qu'on l'avait fait chanter pour le pousser à commettre tous ces actes. C'était une défense que bien des mangemorts avaient utilisé, et elle semblait fonctionner, surtout que s'il avait été un vrai mangemort, Augustus aurait eu droit au tatouage sur l'avant-bras. Mais il n'en avait pas, donc rien ne montrait qu'il avait volontairement participé à cette tentative d'épuration sorcière.

L'incarcération d'Eleanor Duncan était à la fois une bonne et une très mauvaise nouvelle. Elle devrait enfin arrêter de faire chanter son fils puisqu'elle ne pourrait plus entrer en contact avec lui, même indirectement. Cependant, elle ne serait plus capable de nourrir la flamme qui maintenait Alia en vie. Augustus devait agir vite avant que le feu ne s'éteigne, il devait aller voir un spécialiste qui l'aiderait à sortir de l'objet l'âme de sa bien-aimée. Son premier arrêt fut à Barjow et Beurk, mais le diagnostic fut bien différent de celui qu'il imaginait.

« Heu... C'est juste une lampe avec un sort de flamme éternelle. dit l'apothicaire.
-Quoi ? Mais regardez bien l'ombre, il y a quelqu'un dedans.
-Oui je la vois, c'est un autre sort ça,, on l'apprend à Poudlard dés les premières années, ce n'est qu'une ombre justement. Il n'y a personne là-dedans, je vois pas qui vous a raconté ces bêtises. Je peux vous l'éteindre si vous voulez.
-Non non surtout pas, rendez-là moi. » conclut précipitamment Augustus avant de se saisir de la lampe et de repartir aussitôt vers d'autres spécialistes qui tinrent le même discours.

Il mit plusieurs jours à réaliser qu'on lui avait menti. Pendant plusieurs jours, il ne plongea rien dans la lampe, et la flamme crépitait toujours avec la même vivacité. Elle ne s'éteindrait jamais s'il ne l'éteignait pas volontairement.
Pareillement, l'ombre en forme de silhouette qui se dessinait sur le verre de la lampe, ce n'était qu'un dessin. Personne ne se cachait dans cette lampe, ni un génie qui exhausserait ses vœux et encore moi Alia, la seule et unique personne qu'Augustus ait jamais aimé. Aveuglé par cette lampe, à l'idée qu'elle s'y cachait toujours et quelle l'y attendait, l'homme s'était résigné à ne s'intéresser à personne d'autre qu'à elle, et on venait de lui annoncer que pendant vingt ans, il avait couru après un fantôme.

C'était une nouvelle difficile à accepter, mais Augustus était résigné à aller de l'avant. Faire du surplace, se morfondre, ce n'était pas son genre. C'était dur, mais il arriverait peut-être enfin à faire son deuil, à accepter que son amante était morte il y avait de cela vingt ans, tuée par la mère Duncan qui mentit ensuite à son fils pendant ces mêmes deux décennies afin de le garder sous contrôle. Il le devait, de toute façon.

Mais puisque plus rien ne pouvait le contraindre à faire autrement, Augustus en profita aussi pour divorcer de sa femme. Leurs enfants étaient adultes désormais, et des mangemorts par dessus le marché. Ils n'étaient peut-être pas tous à Azkaban, mais leur père savait très bien ce qu'ils avaient fait.
Aussi dur que cela puisse paraître, Augustus n'aimait pas particulièrement ses enfants. Ils étaient nés d'une union dénuée d'amour et s'étaient fait laver le cerveau par le reste de la famille. Ils n'avaient rien en commun avec leur père qu'ils voyaient comme un lâche qui n'avait pas le courage de ses opinions et qui n'était qu'un traître à son sang.
Ils contrastaient terriblement avec l'image des enfants parfaits qu'Augustus s'était toujours imaginé avoir avec Alia. Et rien qu'à cause de cela, il ne pouvait les aimer.

Pendant la deuxième guerre des sorciers, Augustus s'enfuit. Il ne voulait pas être retrouvé, il partit donc un an dans sa ville natale, au Cap grâce à ses économies et à une partie de l'héritage de ses parents morts à Azkaban. Une fois le conflit terminé, il revint au Ministère de la Magie, occuper l'un des postes libérés par l'épuration qui avait prit place pendant un an, apprenant alors que ses trois autres enfants, ceux qui n'avaient pas été envoyés à Azkaban pendant la première guerre, avaient péri pendant la bataille de Poudlard, du côté des mangemorts. Cela ne surpris qu'à moitié l'homme à vrai dire. Il ne leur avait pas parlé depuis de longues années, cela ne changeait pas grand chose à sa vie. Il alla à leurs enterrements, mais simplement par principe. Il n'y resta pas longtemps.

Ce fut en quittant les cérémonies en avance qu'il réalisa qu'il était le dernier membre de la famille Duncan encore en vie. Il avait touché les héritages et pouvait profiter de leur gigantesque domaine au Royaume-Uni tout comme en Afrique du Sud. C'était beaucoup trop pour lui, mais au moins il était tranquille, pouvant désormais faire ce qu'il voulait.
Professionnellement, son poste au ministère était passable, simples régulations, des papiers à signer et c'était tout ce que l'on demandait de lui. Sentimentalement, il n'avait plus envie d'essayer. Il avait eu ses chances, les avait gâché, il n'avait pas la volonté de tout recommencer pour l'instant. Il avait passé sa vie forcé à partager sa demeure avec ceux qu'il détestait, un peu de tranquillité ne lui ferrait pas de mal.
Il ne lui restait plus que sa passion, l'astronomie, et tout le temps qu'il voulait pour étudier les astres au dessus de sa demeure plongée dans le noir.
Il rédigea plusieurs ouvrages à ce sujet, notamment Les 67 Satellites de Jupiter, Guide pour Débutants ou encore La Trajectoire des Grands Corps Astraux, qui ne furent pas des best-sellers mais qui avaient au moins l'honneur d'approfondir les sujets abordés au lieu de se contenter de la surface afin d'être ouvert au plus large public possible.

Ils furent cependant suffisants pour attirer l'attention sur l'homme qui, après la publication de son deuxième ouvrage en 2005, reçut une lettre de Poudlard, lui proposant un poste en tant que professeur d'astronomie, pour occuper ses vieux jours.
Augustus n'accepta pas immédiatement, doutant de sa capacité à enseigner à des jeunes, lui-même n'ayant aucune expérience avec les moins de vingt ans. Mais finalement il signa le contrat et se trouva propulsé dans l'académie. Contrairement au reste du corps enseignant, il n'y avait jamais mit les pieds auparavant. Y enseigner, c'était comme une revanche envers tous ceux qui le dénigraient parce qu'il avait obtenu son diplôme à Uagadoo. De plus, peut-être qu'avec toutes ces petites têtes blondes qu'il y trouverait, il se découvrirait un nouvel instinct paternel qu'il n'avait jamais eu l'occasion de connaître jusque là.
Alors de gigantesques malles de vêtements et d'affaires diverses flottant légèrement derrière lui, il entra à Poudlard, sa vieille lampe à huile à la flamme dansante sous le bras, avec le même sourire aux lèvres que les nouveaux élèves de première année chaque premier septembre.




Hors RP


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Dernière édition par Augustus Duncan le Mer 20 Juil - 21:50, édité 7 fois
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Sujet: Re: Augustus Duncan ♠ Old age should burn and rave at close of day [Terminée]
Mer 20 Juil - 3:52
C'est sympa de voir un vieux perso arriver ^^ Ton perso est intéressant en plus, j'ai hâte de le voir en jeu. Bienvenue parmi nous, n'hésite pas si tu as des questions. love01
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Sujet: Re: Augustus Duncan ♠ Old age should burn and rave at close of day [Terminée]
Mer 20 Juil - 4:05
Astronomie... C'est donc toi qui désespérais de voir Magnolia dormir à chaque cours et se récolter des T à tout va hesitating
Bienvenue (comme dit sur la CB :3) et bon courage pour ta fiche love01
Ton perso à l'air très intéressant Razz


Dernière édition par Magnolia McCandless le Mer 20 Juil - 9:45, édité 1 fois
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Sujet: Re: Augustus Duncan ♠ Old age should burn and rave at close of day [Terminée]
Mer 20 Juil - 5:32
Ow génial Adri n'est plus le papy de Poudlard xD Bienvenue !
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Sujet: Re: Augustus Duncan ♠ Old age should burn and rave at close of day [Terminée]
Mer 20 Juil - 9:18
Bienvenue Gandalf! Bonne chance pour ta fiche yihaa
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Sujet: Re: Augustus Duncan ♠ Old age should burn and rave at close of day [Terminée]
Mer 20 Juil - 9:25
Bienvenuuuuue love01
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Sujet: Re: Augustus Duncan ♠ Old age should burn and rave at close of day [Terminée]
Mer 20 Juil - 9:59
Wahou ! Ca me comble de joie de voir un professeur qui ressemble réellement à un professeur :3

Bienvenue à toi et j'espère que tu vas te plaire parmi nous !

Petit détail cependant : si tu veux que ton personnage soit un sang-pur, il ne peut pas être du Royaume-Uni car on accepte seulement les familles du registre des 28 (http://fr.harrypotter.wikia.com/wiki/Registre_des_Sang-Pur) donc il faudrait que la famille Duncan soit étrangère et arrivée au Royaume-Uni depuis une génération maximum Smile
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Sujet: Re: Augustus Duncan ♠ Old age should burn and rave at close of day [Terminée]
Mer 20 Juil - 10:20
Merci à tous pour vos messages de bienvenue, ça fait toujours chaud au cœur de se sentir si bien accueilli kyaaa

Et pas d'inquiétude Victoire, j'y avais mûrement réfléchit et déjà pris ce détail en compte dans la rédaction de ma fiche rainbow01
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Sujet: Re: Augustus Duncan ♠ Old age should burn and rave at close of day [Terminée]
Mer 20 Juil - 10:48
Bienvenue à toi !
J'espère que tu te plairas parmi nous Smile
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Sujet: Re: Augustus Duncan ♠ Old age should burn and rave at close of day [Terminée]
Mer 20 Juil - 13:02
Bienvenuee comme dit sur la CB (c'est Momo au cas où)
Bref, j'ai hâte de lire tout ça mais je le ferais ce soir à la fraîche. Mon pauvre cerveau va exploser
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Sujet: Re: Augustus Duncan ♠ Old age should burn and rave at close of day [Terminée]
Mer 20 Juil - 14:37
Merci à tous pour vos messages rainbow01

C'est avec un énorme plaisir que j'annonce que ma fiche est terminée, bon courage à vous, les lecteurs ! love01
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Sujet: Re: Augustus Duncan ♠ Old age should burn and rave at close of day [Terminée]
Mer 20 Juil - 14:55
Bienvenue parmi nous cher colègue ♥️
J'adore l'avatar choisi Very Happy
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Sujet: Re: Augustus Duncan ♠ Old age should burn and rave at close of day [Terminée]
Mer 20 Juil - 21:14
Oui alors, j'ai pas lu toute ton histoire parce que je préfère demander les modifications directement.

je crois qu'on s'est mal compris sur les origines de la famille. Quand je dis qu'il faut qu'il soit d'un pays étranger je ne veux pas seulement dire qu'il soit né dans un autre pays. Là, le statut de sang pur ne convient pas parce que la famille de ton personnage est quand même Britannique donc elle est censée être dans le registre. Voilà plusieurs options :

♦️ Le père de ton personnage est né en Afrique également et donc les frères et sœurs aussi. Il faut que les origines britanniques remontent à avant 1900 mais que toute la famille soit africaine depuis au moins 1900.

♦️ Ce sont des expatriés américains ou australiens ou que sais-je enfin ailleurs que la Grande-Bretagne

♦️ La famille est entièrement africaine ce qui impliquerait de changer le nom de famille pour quelque chose de plus approprié et l'avatar pour une célébrité plus métissée/noire.

Je suis désolée d'être chiante là-dessus mais promis, je suis comme ça avec tout le monde Wink
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Sujet: Re: Augustus Duncan ♠ Old age should burn and rave at close of day [Terminée]
Mer 20 Juil - 22:43




“C'est le rôle essentiel du professeur d'éveiller la joie de travailler et de connaître.” Albert EINSTEIN






Félicitations ! Nous sommes ravies de vous accueillir au sein de notre équipe au poste de Professeur d'Astronomie

Mais avant de commencer à jouer, n'oubliez pas de faire un passage ICI et LA. Pendant ce temps, nous nous occupons de vous donner les accès à votre Salle des Professeurs.

Etre professeur à Poudlard comporte certaines responsabilités, c'est pourquoi nous vous demandons d'aller lire le sujet qui vous concerne dans votre partie. Nous ne doutons pas que vous relèverez le défi haut la main et saurez transmettre l'envie d'apprendre à nos chers têtes blondes !

Trêve de bavardage, il est temps pour vous d'aller rejoindre votre équipe et de préparer vos cours avant que ne débute la semaine !


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Sujet: Re: Augustus Duncan ♠ Old age should burn and rave at close of day [Terminée]
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Augustus Duncan ♠ Old age should burn and rave at close of day [Terminée]

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