Elle est revenue à Poudlard après presque deux mois à devoir se comporter comme une élève modèle et à suivre les cours. Elle est encore loin de la première de la classe mais la différence est remarquable et remarquée par ses camarades et ses professeurs. Cela lui demande beaucoup d’énergie et son caractère est devenu bien plus grognon en cette fin de période scolaire. Elle le compense avec davantage d’exercice physique mais il en faudrait peu pour qu’elle explose et redevienne celle qu’elle était quelques mois auparavant. Juste une goutte d’eau qui heureusement n’est pas venue renverser le vase. Les vacances sont un signe de liberté qu’elle désire tant et elle est une des premières à embarquer dans le Poudlard express, ses affaires jetées pêle-mêle dans un wagon. Sa valise est à son image: désorganisée, tout en vrac et à vrai dire rien de réellement plié. Elle tourne en rond tel un loup en cage, attendant que le trajet interminable se finisse. Elle grogne sur tous ceux qui oserait vouloir pénétrer dans son enclos. Elle réalise des pompes et des exercices de musculation avant de singer des lancés de couteau. Elle a hâte de retrouver ses vrais couteaux qu’elle a dû laisser à l’appartement, ayant l’interdiction formelle de les amener à Poudlard. Cette école est vraiment décidée à brider la moindre liberté, refusant d’accorder sa confiance pour quelque chose d’anodin. Elle ne va pas tuer quelqu’un, elle sait tout de même ce qu’elle fait. Ok, elle risque d’en effrayer plus d’un, et peut-être de pas malencontreusement viser une jambe ou un bras mais rien de vraiment dangereux. Juste un effet dissuasif pour convaincre ceux qui en ont besoin de la laisser tranquille.
Le trajet lui semble interminable et une fois enfin arrivée à la colocation, elle dépose sa valise dont les affaires dépassent de tous les coins sans prendre le temps de la ranger. Cela peut attendre alors qu’elle a autres choses en tête. Elle file rejoindre la salle d’entraînement, ayant prévenu Eileen de sa volonté de l’occuper un peu ce jour. Dans la liste de ce qu’elle doit respecter, il y a cette règle d’informer avant et cela elle le comprend. Quand une règle a un sens, cela vaut la peine de la suivre sinon elle n’y voit pas réellement l’intérêt, préférant vivre au gré de ses envies… et désormais de l’entente passée avec sa tutrice. Si on lui avait dit qu’un jour, elle aurait une tutrice qu’elle n’a pas envie de trop défier, elle aurait probablement rit à gorge déployée. Mais Eileen a le double travers de lui imposer le respect et de lui fixer des limites qui sont sensées. Avec des conséquences plus que probable si elle dévie du chemin établi. Elle respire de bonheur alors qu’elle lance des couteaux, profitant de cette liberté retrouvée. Personne pour lui dire qu’elle ne peut pas, que c’est dangereux et blablabla. Elle s’en donne à coeur joie, profitant de cet instant avant d’enchaîner avec différents exercices physiques. Elle termine en sueur mais un peu allégée de ces mois de privation de liberté. Elle descend alors, se servant d’une bière dans le frigo et s’affalant ainsi dans le canapé. Juste sa bière et elle sans savoir si un de ses colocataires allaient pointer ou non le bout de son nez.
Sujet: Re: L'heure n'est pas à l'amusement [Darrel]
Mer 10 Juil - 22:50
L’heure n’est pas à l’amusement Darrel Blum & Kali Constance
Il y repensait encore, et il détestait ça. Darrel n’était pas le genre de personne à s’arrêter sur un moment, préférant vivre sa vie au jour le jour mais il ne pouvait s’empêcher de refaire la conversation encore et encore qui avait eu lieu avec Marcus. Il ne pensait pas être fou, il ne pensait pas être stupide au point de ne pas voir qu’il y avait une certaine alchimie et très sincèrement il ne pensait pas se tromper en pensant que Marcus aimait plus les hommes que les femmes. Pas un problème pour le barmaid, qui se voyait aimer les corps bien plus qu’un sexe, se moquant bien des choses que beaucoup appeler les sentiments pour ne se focaliser que sur le plaisir. Mais le jeune futur auror était une énigme. Autant il n’avait guère de doute sur son orientation, autant il se demandait si les sous-entendus qu’il glissait fonctionnait, si Marcus pourrait être intéressé, ou pas du tout. C’était bien ça le problème. Darrel aurait dû s’en moquer, complètement même. Si ça ne fonctionnait pas après tout, il n’avait qu’à laisser couler, trouver quelqu’un d’autre, passer la main et puis basta. Non. Parce qu’il savait qu’il serait amené à croiser Marcus plus souvent que de raison et qu’il ne pouvait pas tarir l’envi profonde au fond de lui et que ça le frustrait très sincèrement de ne pas avoir un gros stop devant son nez ou des réponses claires. En plus de ça, il y avait Eileen. Eileen qui était le mentor de Marcus. Si jamais Darrel en venait à le toucher, il était mort, enterré. Enfin pas complètement. En soit Eileen se moquait bien de ce que faisait Darrel de sa queue, mais il avait rapidement compris aussi que si jamais – dans l’hypothèse qu’il faisait, probable mais peut-être fantasmer – ou Marcus en viendrait à développer des sentiments pour lui, Darrel allait lui briser le cœur. Et c’était là que ça coinçait. Mort. Archi-mort. Autant être cash ou autant oublier.
Il astiquait le verre dans ses mains depuis une vingtaine de minutes quand il capta enfin qu’Adélaïde agitait sa main devant lui comme une demeuré. Il cligna des yeux et observa sa collègue. « Darrel ! Darrel ! » Le barmaid resta circonspect un moment observant la jeune femme. « Je crois que le verre est propre. Et tu as finis ton service. » Il l’observa à nouveau, avant que son sourire mutin ne revienne sur ses lèvres. Milieu d’aprem, début, il n’en savait rien. Il posa le verre sur le comptoir, avant d’ouvrir le tiroir derrière celui-ci récupérant ses clopes, puis finalement vint à passer dans la salle annexe pour enfiler son long manteau d’hiver. « Adé ! Ne fais pas trop de bêtises pendant que je ne suis pas là. » Elle eut un léger sourire dans sa direction. « Mouais au moins j’aurais pas une folle qui viendra me lancer des couteau dans la tronche cette fois. » Elle ne l’avait toujours pas digérer. Darrel lui offrit un sourire amusé, avant de passer la porte. Son paquet dans les mains, la cigarette sortit aisément pour se ramener à sa bouche, le briquet en pendentif cliquetant dans sa main. Plus de gaz. Merde ! Il maugréa tout seul pour lui-même, avant d’entamer la route en direction de l’appartement qu’il occupait en compagnie d’Eileen – et de Kali par intérim – qui se trouvait non loin.
Elle devait être encore en mission. Ou alors dans un bureau à grogner contre tous ceux qui viendrait la voir surtout après l’annonce du nouveau ministre par intérim. Ça aussi c’était une nouveauté. Le barmaid ne tarda pas à rejoindre la porte d’entrée de l’immeuble, passant cette dernière avant de monter les étages qui l’amenait sur le seuil de l’appartement. Darrel ne fit qu’à peine attention au fait que ce soit ouvert, oubliant lui-même parfois ses clefs, ou oubliant tout simplement de fermer. Il se dirigea immédiatement vers sa chambre et recharga son briquet, avant de venir jusqu’au salon, ne prenant guère le temps d’une inspection, la cigarette au bec, le frigo ouvert pour se prendre une bière. Ce ne fut que lorsqu’il releva la tête qu’il vit Kali affalé dans le canapé. « Oh ! Tu es là ! » fit-il, légèrement surpris, venant à décapsuler la dite bière et en prendre une gorgée. Comme si cela semblait normal l’espace d’un instant. Comme si cela ne faisait pas un mois et demi qu’il n’avait pas vu sa colocataire. Trop de va et viens. Trop de chose à penser. Il se dirigea vers la fenêtre de l’appartement et l’ouvrit qu’importe le froid qui allait venir. Un moment son pendentif se joua dans ses doigts, avant qu’il ne se retourne vers Kali. Comme une lumière qui venait d’effleurer son cerveau. « Attends. » Que faisait-elle là maintenant ? Elle ne devait pas être à Poudlard ?
Il plissa légèrement les yeux pour vérifier qu’il ne rêvait pas. « Tu es là ! Les vacances sont déjà arrivées ? Le temps est passé si vite ? » demanda-t-il, le ton légèrement las, la cigarette se voyant finalement allumé, la nicotine traversant ses poumons et la fumée blanche venant à s’évaporer dans l’air. « Pas trop dur les cours ? » C’était le deal avec Eileen pour le fait qu’elle vive chez eux et qu’elle devienne sa tutrice. Que Kali finisse sa scolarité. Darrel n’avait rien contre mais du coup cela faisait qu’il ne voyait la jeune femme que rarement, d’où sa surprise. A moins que ses pensées ne soient trop nombreuses au fond à cet instant.
electricbird.
Kali Constance
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Sujet: Re: L'heure n'est pas à l'amusement [Darrel]
Lun 15 Juil - 20:03
L'heure n'est pas à l'amusement
La bière à la main, le corps étendu dans le canapé, elle savoure chaque gorgée. Elle aime sentir les effets des séances d’entraînement dans son corps, l’adrénaline redescendant au fur et à mesure. Elle reste ainsi même s’il est certain qu’elle ne restera pas longtemps inactive. Elle est toujours en mouvement, en activité et les temps de repos sont rares. Souvent après une longue séance d’effort. Elle observe l’appartement, savourant ses deux semaines de liberté. Elle a respecté son accord avec Eileen et n’a pas fait de vague. Les professeurs ont remarqué le changement de comportement mais cela lui a coûté bien des efforts. Elle compte bien profiter de chaque seconde de ses deux semaines de liberté. Au programme, des sorties, de l’alcool et plein de choix qui seraient jugés inadaptés ou dangereux par bien des gens. Elle compte proposer à Darrel, certain que l’amusement sera au rendez-vous. La tournée des bars pourrait être une idée. Elle a besoin d’alcool plus fort et de pouvoir relâcher. Envie de défi et de compétition. Bref, tout ce qui fait qu’elle s’amuse et qu’elle profite bien loin du sérieux rébarbatif des cours à Poudlard. Quel ennui de devoir rester assis à écouter pendant des heures et le soir d’être obligé d’étudier pour les devoirs. Surtout que si elle veut obtenir ses ASPICS, elle n’a pas vraiment le choix. Elle a pris du retard et elle est obligée de mettre les bouchées doubles pour rattraper son plus grand agacement. Ce qui lui a permis de tenir est la possibilité de pouvoir courir, de pouvoir faire du sport. Elle est bien décidée à ne plus penser cela pendant les deux prochaines semaines. Elle avale une gorgée de sa bière venant ainsi entériner cette résolution. Deux semaines de liberté qu’elle ne compte pas gâcher en pensant à Poudlard.
Ses pensées sont interrompues par l’arrivée de Darrel au sein de l’appartement. Elle ne bouge pas du canapé, le laissant remarquer sa présence. Elle l’observe un sourire au coin faire un aller-retour pour aller lui aussi se prendre une bière. Elle se demande combien de temps il va mettre pour remarquer sa présence mais ne compte absolument pas l’aider un seul instant. Alors qu’il constate enfin qu’elle est là, il semble surpris de la voir ainsi. “Et bah, c’est comme ça que tu m’accueille”. Le sourire est narquois. “C’est ça de s’amuser pendant que je suis enfermé en prison, le temps passe vite pour toi”. Non, elle n’exagère absolument pas. “Je vois que je ne t’ai pas manqué”. Elle grogne un peu en réponse à cela et le grognement s’intensifie alors qu’il parle des cours. “Un enfer. Obligé d’être sage, enfin autant que je puissse l’être. Les professeurs ont failli faire une crise cardiaque quand je donnais une réponse. Ça c'était drôle. Tu aurais vu leur tête”. Elle a un sourire en y pensant à nouveau. “Et toi comment ça va? Quoi de neuf?”. Elle le regarde avec un sourire. “Je te jure, on va sortir ensemble pendant que je suis en vacances. J’ai vraiment besoin et si tu veux pas je t’y traîne de force”. Tout en subtilité comme toujours.
Sujet: Re: L'heure n'est pas à l'amusement [Darrel]
Mer 17 Juil - 12:22
L’heure n’est pas à l’amusement Darrel Blum & Kali Constance
Rien n’avait jamais semblé atteindre la bonne humeur de Darrel, rien ne semblait jamais l’atteindre à dire vrai. Le nuage qu’il était voguant au grès du vent, continuait toujours sa route dans les envies qui le prenaient. On le disait disposer d’un flegme à toute épreuve, on lui soufflait qu’il ne prît jamais en compte ce que les autres en pensait, toujours le sourire aux lèvres. Et c’était une vérité qui s’infiltrait sous sa peau à dire vrai, le corps toujours en émois, les paroles dans l’amusement certains, la bonne étoile continuant de faire son œuvre. Mais comme tout un chacun, il pouvait arriver que certaines choses en viennent à le perturber. Pendant un temps prononcer quelque chose en lien avec sa famille avait créer une forme de mutisme sur lui, dérivant habilement la conversation sur un autre sujet. Il parlait aujourd’hui plus aisément de sa mère, de sa sœur ou de son petit-frère, mais taisait toujours quoique ce soit concernant son père. Et puis il y avait autre chose, quand il se mettait tout simplement à réfléchir qui venait titiller son esprit, des pensées qu’il préférait la plupart du temps garder pour lui quand au fond peut-être qu’un avis extérieur l’aiderait à y voir clair. Les pensées étaient pourtant ce qu’elles étaient, dans le doute qui l’accompagnait concernant Marcus, des possibilités et des semi-réponses qu’il obtenait et qui le rendait fou. Il aurait dû oublier, passer à autre chose, aisément, simplement, Darrel en avait l’habitude. Après tout c’était lui qui avait initié les sous-entendus, il ne pouvait s’en prendre qu’à lui-même de s’être fait avoir à son propre jeu. Voilà le pourquoi du problème, tout n’était qu’un jeu pour lui et pour une fois il ne se moquait pas complètement des conséquences, ayant bien vu au travers du regard du futur auror la même étincelle que lui des années auparavant. La même histoire à répétition. Plus ou moins.
Le silence semblait avoir gagner l’appartement quand les clefs retentirent pour en ouvrir la porte, restant bloqué sur la position ouverte, le barmaid se suggérant à lui-même qu’il avait dû oublier de fermer. Les jours étaient passés et comme à son habitude, il n’y avait à peine fait attention, voguant au travers les fêtes qui animait le chaudron baveur, sans réellement savoir si on était en février ou si le mois de mars avait déjà pointé le bout de son nez. Le briquet se vit rechargé en gaz, alors qu’il aurait put utiliser un simple incendio pour allumer la cigarette qui pendait à son bec. Mais au lieu de ça il préférait garder au cou ce pendentif si cher à son cœur. Le frigo fut ouvert, l’aisance en maitre dans cet appartement immaculé où il faisait le ménage régulièrement. Toujours des bières au frais, l’une d’entre elle venant à se poser dans les mains de Darrel, avant que la posant sur le plan de travail il ne vint à remarquer qu’il n’était pas seul. Heureusement dirait certain qu’il n’était pas à poil, mais honnêtement ça n’aurait gêner ni lui, ni Kali. Probablement le contraire en somme. La bière fut prise en une gorgée, la cigarette trituré dans ses doigts en même temps que le briquet ne filait au travers de sa chaine et qu’il manque un moment. Un mois et demi. C’était le temps qui avait couler depuis qu’ils avaient déposé Kali à la gare de King cross, le deal fait avec Eileen pour qu’elle devienne sa tutrice légale à condition que ses ASPICS soient obtenus.
La lumière vint en même temps que l’étincelle au bout du collier. Elle était là. Pas à Poudlard, ce qui signifiait que les vacances étaient venues plus rapidement que prévu. Les yeux se plissèrent, l’imagination vive, bien qu’il n’ait rien consommer pour se rendre que fatalement elle se trouvait effectivement là. Le sourire se dessina sur les lèvres du barmaid à la réponse de cette dernière, l’accueil effectivement pas le mieux au monde, la fumée s’échappant de la cigarette allumée entre temps. « Une prison ? Poudlard est quand même un endroit fun. » ironisa-t-il, sachant avoir passé de bon moment au sein de l’école de magie, mais il se doutait que ça ne devait pas être la même histoire à présent pour Kali. « Et puis tu as déjà une bière, alors je trouve que tu es bien accueillis. Ne manque plus qu’un câlin, je suis tout disposé à te l’offrir. » fit-il, pointant dans un premier temps un doigt en direction de Kali avant de finalement ouvrir les bras en accompagnant ses propos. Si on ne les connaissait pas trop, on aurait presque pu deviner une relation normale entre eux, loin de suggérer que les câlins pouvaient en sommes prendre bien des formes. Montrer son affection, Darrel le faisait avec son côté tactile, mais les mots à l’instar d’Eilleen n’était pas toujours leur fort. Surtout quand il s’agissait d’être sérieux.
Il se redressa de la fenêtre, la laissant pourtant ouverte, la clope au travers des lèvres et la bière dans les mains, la question demeurant de savoir comment se déroulait les études de Kali dans une banalité sans nom. Et apparemment elle était aussi à cheval sur les études que lui, Eileen pouvant surement l’aider à trouver sa voie par la suite. Tout ce qu’elle avait à faire été de tenir encore quelques mois. Il s’affala finalement dans un fauteuil proche de Kali, la fumée s’échappant dans l’appartement. « Ils vont finir par nous envoyer une lettre, inquiets de ton comportement. Ce qui serait encore plus drôle. » plaisanta-t-il. Ils avaient probablement vu Kali être un aimant à problème pendant six ans de leur vie, surement que le changement radical qu’elle soulevait avait dû en effet surprendre plus d’un. Mais la jeune femme était loin d’être bête, elle ne faisait plus de vague et se donnait surtout les moyens à présent pour accomplir la mission que lui avait confié leur colocataire. La question lui fut poser en retour et le barmaid ne fit qu’hausser les épaules, l’air détendu dans son fauteuil. « Moi ça va, la routine en somme. » Le travail, les sorties, les fêtes, les expositions, le ménage, en somme il ne se voyait pas s’expandre sur ce qui le tracassait en ce moment même, une broutille au fond qui passerait avec le temps.
Il avait retrouvé sa colocataire et si elle aurait surement toutes ses journées pour s’occuper, lui devrait continuer de travailler durant les vacances, entendant la demande de Kali concernant les soirées, l’envie de se mettre la tête à l’envers. Le sourire était équivoque en même temps que la menace qui venait de s’inviter dans la bouche de la gryffondor. Darrel parut faussement offusqué. « Tu prends de mauvaises habitudes, dis donc à me menacer ainsi, on dirait Eileen. » Le sourire lui s’étira par la suite, amusé depuis le début des ressemblances entre les deux jeunes femmes, bien que la forme animagus de sa meilleure amie l’ait souvent mis à terre. Et que Kali dans sa grande gentillesse n’était pas en reste, le dos se souvenant parfaitement du parquet de l’appartement. Il se redressa, venant à disperser la cendre de sa cigarette dans le cendrier de la table basse. « Mais soit, je ne vais pas en débattre, pour ma propre survie et puis ça fera du bien à tous les deux. » Ce soir d’ailleurs ne serait pas une mauvaise chose, maintenant qu’il avait fini sa journée, il était libre de toute obligation.
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