Nom : Kovalevski
Prénom : Vladimir Ivanovitch dit Volodia
Origines : Sang-mêlé
Date de Naissance : (Nous sommes en début 2018; sachez qu'en Grande-Bretagne dans une classe, les plus âgés sont nés en septembre et les plus jeunes en août.) 26 Juin 2002
Année souhaitée : Cinquième année
Animal de compagnie (Optionnel) : (seuls les animaux présents à Poudlard dans les livres sont acceptés) un chat de gouttière nommé Rivari

PHYSIQUE

Volodia a les yeux bleus, de jolis yeux qu'il tient de sa mère. Ceux qu'il aime bien n'en voient d'ailleurs rarement la couleur vu qu'ils disparaissent presque quand il sourit. Il est tout blanc aussi, ne bronze jamais et attrape des coups de soleil dés que la lumière du jour est trop forte car, en Russie, pas besoin de trop de mélanines pour se protéger du soleil et ses foutus gènes viennent droit de là-bas. Ses cheveux noirs sont jamais bien coiffés et c'est fait exprès, il se donne un peu un genre. Il se croit cool, rebelle même. Il fume des cigarettes en cachette, il en a toujours une au bec quand il croit qu'on ne le voit pas, et son corps est parcouru d'encre noire comme un parchemin. Il est plutôt mince aussi, sa taille à beau être normale pour son âge, on a l'impression qu'une simple brise pourrait l'emporter vers l'inconnu. C'est ce qu'il espère au fond. Pas particulièrement musclé, le seul sport qu'il pratique, mis à part le vol qu'il a découvert à Poudlard et qu'il n'apprécie pas toujours, c'est la natation. Il nage dans le lac, même l'hiver, et il nage bien. Dans l'eau, il oublie tous ses soucis et il y resterait bien à vie.



PSYCHOLOGIQUE

Première chose à savoir sur Vladimir, c'est qu'il est naïf. Très naïf. Du genre à tout prendre au premier degré et à s'en contenter. Les allusions, les sous-entendus, l'ironie, il ne comprend pas et ne comprendra sans doute jamais. On peut lui raconter n'importe quoi et tant que l'histoire tend vers l'irréel, il y croit volontiers. Paradoxalement, il ne supporte pas qu'on le prenne pour un idiot et n'hésite pas à tabasser quiconque le penserait trop fort. Sauf si la personne est plus grande que lui dans ce cas là, il se montre plus magnanime.

Deuxième chose à savoir, c'est que c'est un menteur. Il gobe tout ce qu'on lui dit mais il fait avaler plus gros à ses interlocuteurs. C'est maladif chez lui. Il invente à une vitesse folle, soutient ses histoires avec une détermination sans faille. Il finit même par y croire lui-même des fois. Affabulateur de première catégorie, à l'entendre, on croit que sa famille roule sur l'or, que son grand frère est chasseur de dragons alors qu'il est fils unique, qu'il a le sang plus pur que n'importe qui. Pourquoi ment-il ? Lui-même ne le sait pas mais c'est comme ça.

Sinon, il n'est pas méchant, loin de là. Plutôt généreux, il n'hésite pas à partager alors même qu'il n'a presque rien. Indépendant, impulsif et un peu tête brûlée, kleptomane sur les bords, il reste un solitaire qui a peur de se mélanger aux autres. Sa plus grande hantise étant de trop s'attacher. Il veut, à tout instant, pouvoir tout quitter sans se retourner.

Avant tout, Volodia est un garçon libre et compte bien le rester.

Matière préférée : Divination pour pouvoir raconter de belles histoires qui tombent souvent vraies. Métamorphose, seule matière qui lui semble vraiment simple.
Matière exécrée : Soin aux créatures magiques. Il s'est rendu compte qu'il était allergique aux poils des animaux de tout genre. Du genre à détecter les sombrals juste en sentant ses yeux le piquer. Depuis, suivre ce cours est un véritable calvaire.
Options choisies (à partir de la 3è année) : (2 options à choisir, ni plus, ni moins) Divination, Soin aux créatures magiques
Notes aux BUSEs : (Pour les étudiants de 6è et 7è année. ATTENTION : Si note < A, vous ne suivrez plus la matière pour vos ASPICs) /

Il est à peine né que son père est enterré. Pas grave, il se débrouille sans. Toute façon, à quoi bon un père quand on a une maman comme la sienne ? Une mère qui a la classe, une mère qui passe son temps à brinquebaler son fiston de pays en pays, au gré de ses envies. Et quand il finit dans un pensionnat, elle le laisse derrière, sans au-revoir, juste avec la promesse qu'ils se reverront.

On reprend. Volodia a quatre ans, sa mère n'aime plus la neige. Elle choppe son fils à la sortie de l'école, transplanage direction l'inconnu, loin de sa Russie natale. Il pleure, un peu, puis il oublie. Nouvelle langue, nouveaux amis, nouveau changement de pays à son plus grand désespoir cette fois-ci. Et les années passent, les paysages défilent. Une seule constante: la vue sur la mer quelque soit l'endroit où ils habitent. Et il l'aime cette mer, il en est même raide dingue. Complexe d’œdipe déformé, il n'a pas de père a tuer et veut épouser l'océan, enfanter l'air marin et baiser les vagues. Métaphoriquement. Il ne quitte l'écume des yeux plus d'une journée pour la première fois qu'à sa première rentrée. Il la troque contre un lac sans intérêt à son plus grand désespoir.

Il grandit donc au rythme des marées, va à l'école, la sèche souvent. Se fait gronder par ses profs, joue à l'insolent. Il se sent en décalage par rapport aux autres enfants qui ne l'aiment que rarement. Parce qu'à quatre ans, on ne se soucie pas des accents différents mais à partir d'un moment, on s'en moque. Alors, un gamin qui débarque dans une classe au beau milieu de l'année, tout droit sorti d'Italie, ne parlant pas un mot de la langue locale, ça devient vite la tête de turc de la classe. Mais il s'en fout un peu et fuit vers la plage.

Il y a des accidents autour de lui, des objets qui volent, des vitres qui se cassent. Sa mère, qui a renoncé depuis longtemps à la magie sauf pour économiser le prix des billets d'avions, finit par lui expliquer. Volodia a huit ans et il est sorcier. Un monde s'ouvre devant lui, il se sent supérieur aux enfants sans magie. Il commence à les détester, les trouve sans intérêt et préfère de loin rester seul. L'école ? Plus question d'y aller, il vire un peu gamin sauvage. Sa mère s'en fiche, elle le veut juste heureux et il l'est.

Nouveau pays, l'Irlande et ses falaises fracassées. Coup de foudre quasi immédiat, sa mère parle même de s'y installer définitivement. Volodia apprend l'anglais. C'est facile pour lui, plus il connait de langues différentes, plus celles-ci s'impriment rapidement dans son esprit. Reste juste l'accent indéfinissable qu'il traîne à chaque syllabe. Dans son nouveau pays, il rencontre pour la première fois des sorciers. Des gosses comme lui pour qui la magie est normale alors qu'il en en est constamment émerveillé. On le regarde de haut, on lui demande si ses parents sont sorciers et depuis combien de générations les enchantements traînent dans la famille. Il invente parce qu'il en sait rien, son père était un alchimiste de renom tué par un voisin jaloux. Il descend d'une lignée de sorciers très renommés, proche des anciens tsars. Sa mère est sang-pur elle aussi. On le croit, on l'admire, il se sent un peu supérieur aux autres sorciers maintenant, en tant qu'unique détenteur de la vérité.

A ses onze ans, il sait qu'une chouette va arriver. Il trépigne d'impatience, saute de partout. Il retournerait à l'école mais pas une école avec des crétins de moldus et leur savoir inutile. Une école de sorcier. La lettre est entre ses mains accompagnées des premières désillusions. Sa mère veut s'en aller et le laisser derrière ne la dérange pas. Elle lui propose de venir avec elle plutôt qu'à un internat certainement insalubre loin de l'océan. Mais continuer à errer signifie ne jamais apprendre la magie et il ne peut s'y résoudre.

Il est seul sur les quais de la gare, il trouve la voie en suivant des gens, un peu au hasard et, une fois dans le train, il commence à tisser son histoire, sous les yeux étonnés de ses camarades. Il dit qu'il vient droit de Russie et qu'il n'a quitté le pays que depuis un mois car Durmstrang n'a pas un assez bon niveau. Il ne raconte pas son père mort, sa mère qui fuit il ne savait quoi, il joue au gamin choyé dans un immense palais. Le mensonge continue, sur tout le début de sa scolarité. Il n'est pas très doué pour les études mais il s'accroche. Il fait comme si tout est naturel et que rien ne l'étonne alors qu'au fond il est comme un gosse de six ans devant ses cadeaux de Noël.

Là, maintenant, il est en cinquième année. Avide d'apprendre, il bosse sa magie qui le fascine. Mais, dés ses études finies, il sait ce qu'il fera. Il s'achètera un bateau, retournera à la mer et partira droit devant, en quête de ce qu'il est vraiment.

Prénom : That's a secret
Age : 19
Personne sur votre avatar : Cole Mohr
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"Hum, ce n'est pas facile, dit une petite voix à son oreille. C'est même très difficile. Je vois beaucoup de courage. Des qualités intellectuelles, également, Il y a du talent et... ho ! ho ! mon garçon, tu es avide de faire tes preuves, voilà qui est intéressant... Voyons, où vais-je te mettre ?"
Choixpeau Magique, HP1

Félicitations ! Et bienvenue dans la Maison du Grand Salazar Serpentard ! Nous sommes ravis de t'accueillir au sein d'Impedimenta et te souhaitons de porter les couleurs de ta Maison avec joie et fierté !

Mais avant de commencer à jouer, n'oublie pas de faire un passage ICI et LÀ. Pendant ce temps, nous nous occupons de te donner les accès à ta Salle Commune et à tes dortoirs.

Être étudiant comporte certaines responsabilités, nous ne doutons pas que tu as lu le RÈGLEMENT de Poudlard et que tu es prêt à t'y soumettre sous peine de sanction. N'oublie pas non plus de te renseigner sur les COURS actuellement dispensés.

Trêve de bavardage, il est temps pour toi d'aller rejoindre le banquet et prendre tes marques parmi les Ambitieux.