Comme à l'accoutumer, Anaëlle s'était rendue au travail ce matin-là. Lorsqu'elle fut arrivée au bureau, la demoiselle fut forcée de se rendre dans le bureau de son supérieur. Elle soupira, tout en s'y rendant difficilement. Devant la porte, elle toqua pour ensuite pénétrer à l'intérieure de la pièce. Elle s'installa, tout en attendant les futurs recommandations de son patron. Elles ne tardèrent pas à arriver. Ainsi, et comme d'habitude, elle en prit note. Cependant, elle ne put s'empêcher d'arrêter d'écrire lorsqu'il lui parla d'un article sur les chaporouges. Sincèrement l'avait-il bien vu ? Avait-elle une tête de journaliste passionnée de SCM ? Ou encore était-elle spécialisée dans la matière ? Non, elle son truc c'était l'investigation. Par conséquent, elle ne put s'empêcher de paraître vexer. Comment pouvait-il la rabaisser aussi bas que terre ? Vraiment ? Elle aurait voulu ouvrir la bouche, protester mais rien n'en sortit. Elle fut donc bien obligée d'accepter, et ce à contrecœur.
C'est pour cela, que quelques heures plus tard Anaëlle se trouvait à l'aéroport de Londres. Valise en main, elle s'apprêtait à embarquer. Quelques heures de vol plus tard, elle arriva enfin en Espagne et plus particulièrement en Andalousie. À l’atterrissage, sa colère s'était apaisée et avait laissé place à un beau et jolie sourire. C'était bien la première fois qu'elle allait visiter l'Andalousie, il fallait qu'elle en profite, elle s'imaginait déjà dévaliser les boutiques et terminer son article le plus vite possible, cependant, elle était bien loin de la réalité. 18 heures à l'horloge de l'aéroport, elle constata qu'il commençait à se faire tard raison pour laquelle elle décida de passer la fin de sa soirée dans un hôtel. Elle en trouva un sans difficulté, à peine arriver dans la chambre que la jeune femme posa sa valise et qu'elle s'écroula à même sur le lit de fatigue. Elle s'endormit. Elle se réveilla le lendemain matin dans les alentours de dix heures du matin. Elle s'habilla rapidement, puis elle partit aussitôt prendre son petit déjeuner. Lorsqu'elle eut terminé, la jeune femme reprit chemin vers sa chambre, lorsqu'elle fut tranquille à l'intérieure, elle transplana dans un lieu assez particulier, lieu où elle pourrait sans problème trouver ces créatures. Arrivée sur les lieux et sans réellement connaître ce genre de créature, la jeune femme s'aventura dans le champs. De toute évidence, il n'y avait rien pour le moment, du moins il n'y avait rien dans son champs de vision. Derrière elle, l'une des créatures l'observait et attendait. Elle attendait qu'elle ne soit plus sur ses gardes afin qu'elle puisse l'assommer sans difficulté. Pendant ce temps, Anaëlle marchait sans savoir où elle se rendait. La créature était à présent sortie de son trou et elle la suivait attendant le bon moment pour l’agresser.
- HRP:
Désolée du retard. J'espère que tu as matière. N'hésite pas à faire bouger mon perso au besoin.