PHYSIQUEComment reconnaître un Aeddan L. Kane ? ▬ #1 Le physique
Par H.J. Simpson
L'Aeddan Leondre Kane, de son nom complet, est un être mesurant pas loin du mètre quatre-vingt. Une belle carrure pour son âge donc et un beau bébé finement musclé naturellement : précisons que cet adolescent pèse soixante-dix kilogrammes. Un corps assez athlétique donc.
Ce grand gaillard possède une chevelure de couleur châtain et saura vous donner mille-et-uns frissons avec ses beaux yeux bleus. Son visage fin rend le tout très séduisant et ses lèvres, mesdames, vous donnerons une envie irrésistible de l'embrasser (quand vous atteindrez l'âge requis bien sûr)
C'est donc un très beau spécimen que nous avons là. Un corps parfaitement constitué.
PSYCHOLOGIQUEComment reconnaître un Aeddan L. Kane ? ▬ #2 La psychologie
Par H.J. Simpson
LE point le plus intéressant :
C'est un alpha mâle, il doit prouver sa supériorité par tout les moyens nécessaires. Dragueur chevronné et véritable bourreau des cœurs, il s'attache cependant très vite si la fille lui plaît réellement bien qu'aucun cas n'ait réellement été recensé à ce jour. (
womanizer)
Il est très égocentrique quand il s'agit de sorcellerie, il se croit au-dessus de tous et de toutes pour la simple raison qu'il a plus étudié dans sa jeunesse (laissant au préalable les cours moldus de côté). Confiant sur ses capacités, il n'hésitera pas à vous défier en duel si vous en doutez. (
egocentric)
Il n'aime pas les élèves des trois autres maisons parce que... rien. Ils ne sont pas de sa maison donc il n'ont pas le droit d'être à ses côtés, ils ne le méritent simplement pas. Serez-vous celui ou celle qui le ramènera à la raison ? (
we're the best, f*** the rest)
Enfant très intelligent, il n'adule cependant pas les cours, il n'écoute pas grand chose mais cela ne lui a pas empêché d'obtenir des résultats satisfaisant à ses BUSEs. (
school likes me but i don't like school)
Mélomane depuis sa plus tendre enfance, il chante et il joue du piano, de la guitare ou du violon lorsqu'il n'a pas la tête à la magie. Il tient cette passion de sa mère moldue. (
music is every man soul's gate)
Il a deux choix de carrière qu'il aimerait réaliser : le premier est de devenir un joueur de quidditch de classe mondiale, défendre son pays face aux intouchables irlandais et bulgares qui semblent encore dominer la compétition aujourd'hui. Sinon, il voudrait devenir auror. (
i do know what i want)
Comment reconnaître un Aeddan L. Kane ? ▬ #3 Les origines
Par H.J. Simpson
Tic... tac... tic... tac...
Les affres du Temps. Quel homme voulant construire une famille n'a jamais connu cette angoisse permanente ? Rester dans une salle d'attente pendant que sa femme accouche. Le bébé va-t-il naître ? Va-t-il survivre ? Et la mère dans tout ça ? Mourra-t-elle en couche ? L'horloge tourne, les minutes sont horribles.
Un claquement de porte. Une infirmière. Un nom.
« Monsieur... Rhodri J. Kane ? »Enfin, l'homme le plus en sueur et angoissé de la salle se lève. Un homme d'une stature moyenne, ni trop âgé, ni trop musclé, ni trop flasque, ni trop grand, ni trop petit. Des cheveux mi-longs, rasés sur les côtés, un style un peu dandy, des lunettes de soleil noires en pleine nuit :
Rhodri Jebediah Kane, le magicien gallois au style le plus décalé de l'univers. Des guêtres propres, un peu trop même, s'avancent, tranquillement mais anxieusement, vers l'infirmière. A tour de rôle, l'une passe devant l'autre.
« Félicitations monsieur Kane. »Une baisse d'anxiété et Rhodri soupira enfin et nettoya les gouttes de sueurs qui ornait son front telles des boutons d'acné à l'adolescence. Ses pas deviennent alors endiablés et joyeux. S'il se le permettait, il danserait un petit tango ou un mambo, pourquoi pas. Il arrive alors dans la salle 313, passe devant l'infirmière et entre sans crier garde. Sa femme
Mirabel Alexandra Kane, née Woodsgate moldue galloise à la beauté ensorcelante, allongée sur le lit, bien plus en sueur que son tendre époux avait pu l'être. Dans ses bras, un petit bambin, bien trop braillard mais sonnant comme la plus douce des mélodies aux oreilles de ses parents aimants.
Il recevait alors les prénoms de ses deux grands-pères :
Aeddan Leondre Kane.
De nouvelles inquiétudes saisirent alors ce pauvre Rhodri : et si son fils n'héritait pas des talents magiques de son pauvre père angoissé ? Un sourire et une phrase qui réconforte.
« Il sera le plus grand magicien de ce siècle. » soufflait la Mirabel dans un soupir fatigué.
Pourtant, ces inquiétudes et craintes s'estompèrent vite à la vue de l'enfant, braillant toujours aussi fort.
« Il a tes cordes vocales... » ajoutait Rhodri, les larmes aux yeux.
Mirabel ne put répondre à ce tacle gentil et constater la joie de son mari.
Il reçoit alors, en prévention d'un manque de magie en lui, une éducation protestante religieuse, pas forcément stricte, mais enseignant les valeurs essentiels. Il apprenait aussi la musique auprès de sa mère. Ainsi, il devenait un virtuose du piano, de la guitare et du violon. Naturellement doté d'une voix pour le chant, il était très enclin à cette discipline.
Pourtant, le jour de ses huit ans, le jeune « Virtuoso » (le surnom donné par sa mère), déclencha en lui ce qui allait changer sa vie.
Lors d'une simple sortie en centre-ville, le jeune Aeddan, désireux d'avoir des bonbons et ce malgré les réticences de ses parents, le jeune gallois musicien allait devenir aussi sorcier. Son envie était telle qu'il faisait alors, sans s'en rendre compte lui-même, voler le sac jusqu'à lui. Encore heureux, son père s'interposa et paya le sac, trop heureux que son enfant soit sorcier.
Cependant, ce qui s'avéra positif pour le père, était négatif pour le fils. Il remettait alors en question ses croyances et l'autorité parentale (modestement, il n'était pas non plus trop rebelle devant eux)
Il recevait alors la fameuse lettre à ses onze ans : il devenait élève de Poudlard.
Si durant ces sept années il n'y avait pas grand chose d'affolant de son côté (hormis son côté égocentrique, coureur de jupons et le reste), son premier jour resta gravé dans les annales de sa mémoire.
Arrivé à la voie neuf ¾ avec son père et sa mère et son chat Sweet. Il ignora totalement ses parents. Naïfs, ils pensaient juste qu'il ne voulait pas avoir honte d'eux. Il entrait alors dans le géant de fer au ventre ardent crachant de la fumée, le fameux Poudlard Express. Ignorant tout le monde, il se laissait conduire jusqu'à la fameuse école. Revêtant sa tenue de sorcier, il s'installa avec les autres élèves. Il avait prit le soin de tous les regarder et de les juger un à un, sans exception. Autant dire que peu avait une place dans son estime. Il provoquait du regard chaque élève, regardant de haut en bas leurs dégaines, leurs attitudes et leurs tenues (et il le ferait chaque année durant pendant les « nouvelles crues »). Lorsque son nom fut appelé, il marcha d'un pas fier et décidé jusqu'au Choixpeau...
Sa maison était choisie. Il se levait alors et marchait de manière banale vers la table de ses nouvelles couleurs. Était-il joyeux ? Était-il en colère ? En tout cas, un leger esprit de compétition à l'égard des autres maisons et un mépris des élèves n'appartenant pas à la sienne.
Sa première année n'était pas contrariante ni pour lui ni pour les autres. En effet, le jeune Aeddan n'était pas encore très "confiant" pour ses grands débuts dans l'école. Un jeune garçon timide, replié sur lui-même, pas forcément attentif en cours mais ayant souvent la bonne réponse.
Sa deuxième année, il prenait un peu plus confiance en lui, bien que toujours réservé vis-à-vis des autres élèves. Il ne se liait pas forcément d'amitié avec ceux de sa maison, mais son interêt pour ce qui se passait dans les alentours, les petits potins, les rumeurs, l'intéressaient de plus en plus.
Sa troisième année marqua un véritable changement drastique. Il devenait de plus en plus beau et cela se voyait (de par son physique mais aussi son comportement), véritable dragueur en chef. Il n'enchaîne pas les conquêtes cependant, trouvant son entourage féminin non digne d'interêt. Parlant d'interêt, le cours des potions n'en était pas réellement un pour Aeddan qui préférait se prélasser.
C'est à sa quatrième année qu'Aeddan apparait comme nous le conaissons aujourd'hui. Il prend de haut les autres garçons de Poudlard, enchaîne les rendez-vous, dort encore plus en cours de potions, éprouve encore plus d'interêt pour les cours de sortilège.
Jusqu'à sa septième année, il resta le même garçon, fidèle à lui-même. Ses BUSEs ? (Presque) un jeu d'enfants. Non effrayé par les ASPICs, il continuait alors de vivre sa vie heureux...