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L'heure rouge de l'histoire [Absolan] - Libre

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Sujet: L'heure rouge de l'histoire [Absolan] - Libre
Ven 13 Mai - 21:52

L'heure rouge


de l'histoire




Spoiler:
Samedi 10 mars 2018

Il avait revu ses frères, du moins ses aînés. Les circonstances n'avaient certes pas été idéales puisque c'était à l'enterrement de Lexie...mais ils étaient venus. Klaus et Ludwig. Le premier connaissant Lexie et le second ayant appris par une lettre d'Ulricht la nouvelle s'était débrouillé pour être autorisé à sortir, prétendant qu'il l'a connaissait. C'était sans doute le plus surprenant : la présence de Ludwig.

Apaisé sans doute par ces retrouvailles étrangement chaleureuses, Niklaus avait essayé de se concentrer en cours cette semaine. Néanmoins, s'il avait été plus calme, il n'avait toujours pas tout compris et avait même fait exploser son chaudron la veille. A deux mois des examens c'était vraiment foireux. Il allait devoir en racheter un...au moins pour l'année suivante, vu que pour la fin de l'année il y aurait moyen d'en emprunter un à l'école.

En attendant, il mangeait ses œufs au bacon avec un bon appetit. Autour, certains avaient encore des mines lugubres mais s'il était encore triste, il se sentait néanmoins bien...car il savait que ses frères étaient là pour lui. A jamais.

Soudain, une ombre familière fit sursauter le jeune gryffondor.


« SOUAFFLE!?!  »

Bondissant, le jeune griffon brandit son bras sous les regards ahuris de certains camarades qu'il avait sans doute réveillé de par son cri. La chouette blanche vint se poser sur son bras et lui becqueta affectueusement les cheveux après lui avoir livré son courrier. L'écriture de son père. N'en revenant pas, le gamin fit glisser ses doigts sur l'enveloppe quelques secondes avant de donner un boket de pain à son hibou. Ouvrant l'enveloppe, le gamin regarda avec surprise la photo qui attira de suite son attention.


Pourquoi il y avait une photo de Celian ? Un gamin de sept ans, fils d'un joueur de son père. Niklaus le connaissait car il le voyait souvent aux entraînements. Ils étaient dans le même club d'ailleurs. Curieux ça. Attrapant le parchemin, le jeune gryffondor le déroula tout en s'asseyant, Souaffle sur son épaule.

Citation :
'' Cher Niklaus,

J'espère que tout se passe bien pour toi à Poudlard. Je sais que le début du mois a été difficile pour toi mais je te fais confiance pour te ressaisir et réussir tes examens ! Comme ça tu pourras participer au tournoi de quidditch cet été.

En parlant de tournois de quidditch, est-ce que tu te souviens de Kurt Richter ? Je sais que ce n'est pas le bon mois pour t'annoncer tout cela mais je ne voulais pas que tu sois en colère si je te le disais trop tard. Il est décédé...

Enfin... C'est difficile d'expliquer ça par lettre mais Ceilian, son fils de sept ans, habitera avec nous désormais. Je ne sais pas encore jusque quand mais Kurt m'a demandé de veiller sur lui.
J'ai prévenu Ludwig aussi. Klaus & Ulricht sont déjà au courant.

Saches que je t'aime fort.

Papa''

Quoi ? Relisant la lettre, le garçon grimaça. Super. Sympa. Trop d'émotions submergeaient son esprit pour qu'il parvienne à savoir lesquelles. Renvoyant Souaffle, le gamin quitta la table en délaissant son déjeuner. Perdu dans ses pensées, il rangea la lettre et la photo dans une poche de son jeans, en les pliant légèrement mais peu importait.

Pensif, ses pas le menèrent naturellement vers le terrain de quidditch. Il aimait se réfugier à l'intérieur des , entre les diverses planches de bois. Arrivé là-bas, il se laissa pendre à la manière d'un singe à une des poutres. Encore un décès. Décidément, le mois de mars était maudit. Celian devait tellement être mal. Il n'avait déjà plus de mère et maintenant il perdait son père. C'était vraiment injuste...

Et il allait habiter avec eux... Eh ben, le pauvre. La vie chez les Dubois c'était mouvementée... Et il allait sans doute devoir apprendre l'anglais vu que les parents étaient jamais là, ou presque et que du coup les enfants étaient très souvent à Cardiff chez leurs grands-parents.

D'un autre côté, si Niklaus compatissait sincèrement et était triste pour le jeune Richter, il était aussi en colère. En colère contre son père. Une seule lettre. Une seule. Sur presque un an. Pour lui dire ça. Bravo, merci. Vraiment. Père indigne.

Lâchant la poutre, Niklaus alla s'allonger en dessous des escaliers. Il se sentait en sécurité ici, et cela apaisait. L'herbe, l'abri ou peu de personnes n'allaient. Mais là, sa colère était si intense qu'il n'arrivait pas à rester sur place, même en tentant de respirer calmement. Grimpant les escaliers, le gamin alla s'asseoir au sommet des tribunes , un brin inconscient il alla même se poser sur la rambarde. D'ici, il voyait tout le parc et le lac qui s'étendait au loin. D'ailleurs, un petit point se rapprochait du terrain de quidditch, le jeune garçon plissa des yeux pour essayer de distinguer qui c'était. Impossible depuis cette hauteur et cette distance. Ne bougeant pas, il attendit que cette personne se rapproche.

Arrivé sur le terrain de quidditch, le jeune gryffondor le reconnu. Lestrange. Absolan Lestrange. Et cela lui fit du bien sans qu'il sache pourquoi. Descendant de son promontoire, le jeune gryffondor dévala les escaliers en criant après le serpentard en l’appelant par son prénom plusieurs fois.


« ABSOLAAAAN ! ATTENDS-MOI ! ABSOOOLAAAAN ! »

Courant vers le serpentard, le gamin arriva essoufflé devant lui. Plié en deux, mains sur les genoux, le jeune Dubois essayait de reprendre son souffle.

« Je..J'ai...une...question ».

Enfin non. Il ne l'avait plus. C'était déplacé. Il voulait lui demander s'il vivait avec ses parents ou pas...et ce que cela lui faisait mais à bien réfléchir... C'était pas une question qui se posait.

« Enfin... »

Réfléchissant à toute vitesse, le gamin continua sa phrase avant même d'avoir eut le temps de penser les mots qu'il prononça.

« Tu ferais quoi toi si d'un coup tes parents adoptaient un gamin ? Enfin adopter ou recueillir ou...quelque chose du style ? »

Enfin ses parents...Facile à dire ça...

« Tes parents ou quelqu'un d'autre...Enfin... »

Se taisant, le gryffondor planta son regard dans celui du serpentard, conscient d'avoir été maladroit et impoli.

« Je recommence désolé. Bonjour Absolan, j'ai besoin de ton avis parce que... pour la question...c'est que mon père vient de me dire ça...dans l'unique lettre de l'année... »

Tendant la lettre un rien chiffonnée au serpentard, le griffon se tut, laissant ainsi à son aîné l'opportunité de s'exprimer.

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Sujet: Re: L'heure rouge de l'histoire [Absolan] - Libre
Mar 24 Mai - 17:45

l'heure rouge de l'histoire
La patience adoucit tout mal sans remède.


L'eau sur son visage lui fit un bien fou.
Il était dans les sanitaires pour hommes, ceux réservés aux Serpentard et par conséquent, situés aux cachots. Il enserra les rebords du lavabo de ses doigts et serra de toutes ses forces, jusqu'à ce que ses articulations deviennent blanches. Absolan Lestrange ferma les yeux quelques instants, s'efforçant de retrouver son calme, contenant au fond de sa gorge le cri qui menaçait de sortir de sa bouche. Quelle bande d'abrutis, de vraies bouses de trolls. Ils n'avaient rien trouvé de mieux à faire que de verser de l'essence de piment noir dans son jus de citrouille du matin. Décidément, il n'avait pas de chance avec les jus de citrouille, en ce moment. Il allait finir par ne plus jamais en boire. Le pire dans tout cela, c'était que Yulrick avait volé cet ingrédient en cours de potions, sans même que le professeur ne se rende compte de rien. Évidemment, il faisait toujours ses coups en douce. Une vraie petite saleté. Absolan revoyait sa mine satisfaite de ce matin quand il le vit recracher tout le contenu de son verre sur une pauvre Serpentard de deuxième année. Elle était partie en pleurant et en l'insultant de tous les noms. Bref, ce matin était un vrai cauchemar. Le week-end s'annonçait bien.

En sortant des sanitaires, Absolan repassa rapidement à son dortoir pour y reposer ses affaires de toilette. Il poussa un long soupir, s'asseyant quelques instants sur son lit, étant enfin parvenu à relâcher la pression accumulée de si bon matin. Rapidement, il se retrouva avec une boule de poils blanche sur les genoux. Glory venait de lui sauter sur les cuisses et ronronnait tout en se frottant à son jeune maître. Le Serpentard passa doucement sa main sur la petite tête de la femelle, puis le long de son dos, où les poils étaient les plus longs, puisque Glory appartenait à une variété de chats angora. « Désolée ma belle, je ne peux pas rester avec toi ce matin. Je dois me rendre au terrain de Quidditch pour faire l'inventaire. Essaye de ne pas manger le rat de Yulrick, aujourd'hui. » Parce que c'était déjà arrivé, en fin de première année. Autant dire que cela n'avait pas aidé les deux jeunes hommes à s'entendre. D'un autre côté, Lestrange ne pouvait pas refréner les instincts de chasseur de son animal, et Yulrick aurait du faire davantage attention à son ancienne bête.
Le vert et argent se redressa, jetant un dernier regard à la chatte qui le regardait partir, ses grands yeux jaunes fixés sur lui avec un air de reproche. La pauvre. Il n'avait plus de temps pour rien, ces temps-ci.

Ce matin, il n'avait croisé aucun de ses amis. Juste aperçus, au loin. Même Ruby, il ne l'avait pas vue. Même à Eileen, il n'avait pas parlé. Et Dominique, elle dormait sûrement encore. Bref, il n'était même pas encore dix heures du matins quand l'adolescent sortir du château, une cape chaude recouvrant son pull et son pantalon afin de le protéger des vents frais de Mars. Il était seul dans le coin, du moins c'était ce qu'il pensait. Charlie, la préfète-en-chef, lui avait appris la veille qu'il fallait qu'il fasse l'inventaire du matériel de Quidditch. Chaque capitaine s'alternait pour cette tâche, et aujourd'hui c'était à son tour de s'en charger. Tant mieux, car il n'aurait pas supporté les ricanements de Yulrick et sa bande de chiens-chiens lorsqu'ils seraient revenus de la Grande Salle. Il se dirigeait vers l'entrée des vestiaires quand il entendit une petite voix l'appeler, qui se rapprochait. Il s'immobilisa alors, s'orientant naturellement vers l'origine de cet appel. Il haussa un sourcil en voyant de qui il s'agissait. « Tiens, te revoilà. Et tu as récupéré ta voix , lança-t-il, trop lassé pour se montrer froid. » A la place, son timbre était plat. Il avait eu sa dose de conflit pour la journée.

Le petit garçon enchaîna alors une succession de phrases à toute vitesse, lui posant des questions qui le déstabilisèrent. Pourquoi venait-il ainsi lui poser de telles questions ? Venait-il de lui demander conseil ? A lui ? Haha.
Le jeune Dubois lui tendit une lettre toute froissée, et il entreprit de l'ouvrir avant de s'arrêter dans son geste. C'était stupide. « Je ne sais pas pourquoi tu viens me demander ça, à moi. » Il n'aurait pas put mettre la main sur quelqu'un de plus compétent que lui pour rassurer les morveux ? « Je n'en sais rien de comment je réagirais, ni de ce que je ferais. De toute façon, chez moi, la question ne se pose même pas. » Parce que jamais sa mère ne voudra avoir un autre enfant. Encore moins l'adopter. Et même si elle l'aurait voulu, jamais le Ministère n'aurait accepté cela. Elle était trop... instable.
Le Serpentard se rendit compte qu'il se montrait rude. Il ne devrait pas réagir ainsi, mais il n'avait pas l'habitude de discuter avec d'autres personnes que celles qu'il connaissait déjà depuis des années. Celles qui avaient sut l'apprivoiser, le connaître assez pour savoir qu'au-delà du venin qu'il crachait, il y avait quelque chose d'aussi doux que du miel. Ou presque. Il inspira profondément, ses épaules s'affaissant. « [color:9c3b= »336699]Écoute, Niklaus... » Il avait retenu son prénom depuis l'intervention de son ami de l'autre jour, le Serdaigle qui l'avait ensuite emmené à l'infirmerie. « Je ne suis pas quelqu'un de bon conseil, comme tu peux le constater. Si tu cherches quelqu'un pour te dire quelque chose de particulier, ne compte pas sur moi... » Je suis trop à côté de la plaque pour ça.

L'adolescent décroisa les bras de son torse, qu'il avait positionné ainsi quelques instants plus tôt. Il chuchota le mot de passe pour entrer dans les vestiaires, souhaitant se rattraper tout de même. De toute façon le mot de passe changeait régulièrement donc Niklaus ne risquait pas de pouvoir y circuler comme il le souhaitera à l'avenir. Et puis ces temps-ci il manquait cruellement de compagnie. Il était souvent seul. Trop souvent.
« Bah, reste pas planté là. Amène-toi. » lui envoya-t-il d'un ton éloquent. Il pénétra dans le hall qui menait aux différents vestiaires. « Hormis pour le match amical de l'autre fois, tu es déjà entré ici ? » demanda-t-il calmement, se dirigeant vers l'une des portes les plus au fond du couloir. Une lumière douce régnait sur le lieu, générée par une variété de vers magiques qui produisaient de la lumière dès qu'ils détectaient des mouvements. Toute la structure était en bois, ce qui provoquait des bruits inquiétants lorsque le vent soufflait trop fort. Enfin, le terrain avait résisté à bien pire que des bourrasques. Absolan pénétra dans la salle où étaient rangé tout le matériel de Quidditch de l'école et attrapa un carnet ainsi qu'un stylo moldu qui étaient posés sur une petite table à l'entrée. C'est après ces quelques minutes de silence qu'il entreprit de reprendre la parole. « Pour ton père, tu n'as jamais essayé de lui faire remarquer son absence ? Il ne t'envoie jamais de lettres ? » L'adolescent commençait à griffonner de petites choses sur le tableau déjà tout prêt sur le bloc-note qu'il avait. Deux kits de premiers soins, dix rouleaux de ficelles, trois rouleaux de Répartout...
copyright acidbrain
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Sujet: Re: L'heure rouge de l'histoire [Absolan] - Libre
Lun 30 Mai - 18:48

Niklaus avait l'impression d'avoir parlé à un mur. Un immense mur de glace. Ce dernier venait de lui demander pourquoi il lui en parlait à lui. Haussant les épaules, le jeune gryffon regarda fixement ses bottines. Il n'en savait rien. Il l'avait vu et il avait eu envie de lui parler... Car il savait qu'une discussion avec Absolan ne remonterait pas aux oreilles de sa famille puis le grand était du genre honnête... Honnête jusqu'au bout. Parce que c'est vrai que ça devait être différent chez lui. Niklaus n'y avait songé que trop tard et il ne savait même pas comment c'était chez lui... Du coup, lui il le pensait réellement de bons conseils.

Mal à l'aise, le petit gryffon planta ses yeux dans ceux du serpentard. Ne pas compter sur lui ? Mais c'est bon, il lui avait pas demandé un truc risqué pour sa vie après tout... puis il lui faisait déjà plus confiance qu'à d'autres. Mais bon. Cela ne servait à rien de discuter. Pour une fois que le gryffon le comprenait. Récupérant sa lettre, le jeune Dubois regarda son aîné ouvrir la porte des vestiaires. Tiens, il y avait un mot de passe ? Le gamin n'avait pas remarqué, ceux-ci ayant été ouverts plus tôt lors du match amical. En attendant, Niklaus ne savait pas ce qu'il devait faire. Peut-être ferait-il mieux de laisser le jeune Lestrange tranquille ?

Il s’apprêtait à tourner les talons lorsque le vert & argent l'invita à entrer dans les vestiaires. Souriant soudainement à ces mots, le petit allemand trottina derrière Absolan tout en lui répondant d'une voix enjouée.


« Non mais bon j'espère bien y venir souvent l'année prochaine ! J'aimerai être batteur des gryffondors. Après tout je suis batteur à Köln... mais bon si Albus est sélectionné à Serpentard j'ai pas non plus envie de lui balancer des cognards au visage... »

C'est vrai que son ami avait lui aussi envie d'intégrer l'équipe de quidditch de sa maison... Et Niklaus ne pouvait se résigner à balancer des cognards à son jeune ami. Il le trouvait tellement plus fragile, même si ce n'était qu'une impression. Peut-être était-ce juste une question de culture... Le flegme anglais impressionnait souvent le jeune Dubois qui avait plus l'habitude de se trouver confronté à de la rigueur allemande. En attendant, Absolan semblait occuper à écrire des choses sur du parchemin un peu étrange...du papier d'après le cours d'étude des moldus... Avec un bic. Mais Absolan était pas né moldu pourtant ? Assez surpris, le gamin sursauta légèrement lorsque le serpentard repris la parole.

« Non pas vraiment... Mes parents ont toujours été forts absents tu sais...», répondit le jeune Dubois d'une voix lasse avant de reprendre de plus belle. « Et c'est la première lettre que je reçois de mon père... Il est gentil faut pas croire mais le quidditch c'est toute sa vie...littéralement. Et ma mère elle est journaliste sportive pour la gazette magique allemande alors bon... On voit plus souvent nos grands-parents que nos parents... » Haussant les épaules, le gamin observa brièvement la liste qu'établissait le jeune serpentard.

« Ah l'inventaire des stocks... Mon père nous a appris à en faire... du moins on l'aidait parfois quand on mettait le bazar dans la maison. Une espèce de punition mais j'trouve pas ça vraiment embêtant. D'ailleurs moi à ta place je vérifierai le matos des kits de premiers soins, sont peut-être vide que tu t'en rendra pas compte. J'veux bien t'aider mais j'connais pas tous les mots spécifiques des différents trucs... »

Il faut dire que les inventaires des stocks, il avait plutôt l'habitude de les avoir fait dans la langue de Goethe. Comme beaucoup de choses d'ailleurs. Alors s'il était quand même parfait bilingue, certains mots spécifiques lui résistaient encore.

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Sujet: Re: L'heure rouge de l'histoire [Absolan] - Libre
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L'heure rouge de l'histoire [Absolan] - Libre

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